ZOO

Faites vous peur avec notre sélection d'Halloween !

Un bonbon ou un sort ? Une phrase à oublier en ce jour d'Halloween confiné. Zombies, vampires, loup-garous, esprits malveillant ou autres montres sont condamné à rester chez eux. Mais l'équipe de Zoo le mag pense à vous et vous propose une petite sélection d'oeuvres à vous donner la chair de poule !

Effet Miroir

Rien ne va plus pour Louis Ferrand. Ras le bol d’être à la tête de l’usine familiale. Son esprit est à ses problèmes de couple et aux cauchemars qui se multiplient. Quand la réalité dépasse la fiction et qu’il se retrouve poursuivi par un motard en pleine forêt, son sang ne fait qu’un tour et l’entrepreneur ne sait plus vers qui se tourner.

Effet miroir, c’est la sueur froide garantie. La bouffée de chaleur entraînée par l’angoisse qui s’insinue sans prévenir. Il y a un côté Black mirror, une des séries les plus effrayantes et pessimistes sur notre société. Un petit côté Stephen King aussi, ce qui ne gâche rien.

La nuit des morts-vivants


Le jour d’Halloween, Lizbeth quitte son mari et ses deux enfants pour accompagner son frère, Leland, à la sacro-sainte visite de la tombe où sont enterrés leurs parents adoptifs. Mais à peine arrivent-ils au cimetière qu'ils se font attaquer par un groupe de morts vivants ! Après une longue course-poursuite, Lizbeth et Leland trouvent refuge dans un hôtel sordide qui va se révéler être le seul rempart contre une horde de zombies avides de chair fraiche. Car l’épidémie s’est généralisée et plusieurs grandes villes sont déjà dévastées. Pas sûr que Lizbeth arrive à retrouver son mari et ses enfants en vie...

Créateur du mythe du zombie moderne, le cultissime film La nuit des morts vivants est ici remis au goût du jour par Istin et Bonetti dans une adaptation rythmée à grand spectacle, qui n’oublie pas d’explorer en profondeur la psychologie des personnages.Tremblez, mortels !

Frankenstein


Adapté à toutes les sauces, et pas toujours aux meilleures, le mythe de Frankenstein et de son monstre est un classique de la littérature fantastique du XIXe siècle. C'est un des maîtres du manga d'horreur qui s'y colle cette fois, avec la passion pour le morbide qu'on lui connaît.

Ce volume clôt l'intégrale consacrée à Junji Ito par Tonkam, que l'on peut remercier pour ce vaste travail d'édition. Ce Frankenstein plaira certainement aux fans de l'auteur et permettra aux autres de rentrer dans son univers original par une voie connue.

Lucy Loyd's Nightmare



Amant trompé psychopathe, horde de zombies du far west, jouet meurtrier, tels sont les ingrédients du nouveau Lucy Loyd’s nightmare. La reine du comic d’épouvante récidive pour le plus grand bonheur des amateurs de frissons. Attention, ça tache. Lucy Loyd est un mystère.

Mais ce qui est sûr c’est que la dame s’y connaît en termes d’hémoglobine. Déchiquetées, dévorées, écrasées ou éventrées, les fins sont nombreuses mais les chances de survie des victimes sont nulles. Entre humour noir, gore graphique et hallucinations, ce nouvel opus est néanmoins palpitant.

Rachel Rising



Une jeune fille s'extirpe d'une tombe, sans souvenirs de ce qu'il s'est passé. Ses proches la reconnaissent à peine, ses signes vitaux tirent sérieusement vers l'état de mort clinique. Pourtant, il pourrait lui arriver pire encore...

Ce comics mêlant fantastique et horreur s'annonce comme une série indispensable. Le dessin en noir et blanc donne un aspect incisif à cette BD. Les aplats de noir et les plans larges posent l’ambiance sinistre, tandis que certaines séquences décortiquent soigneusement l'action à l'aide de plans rapprochés et muets. Les personnages sont expressifs, le style réaliste : on ne peut que se laisser happer par l'histoire de Rachel, qui n'aurait jamais dû se relever...

Esprits des morts


Cet ouvrage regroupe l’intégralité de ses derniers travaux d’adaptation, tous magnifiquement mis en images et en couleurs et l’on reconnaîtra certains textes, nouvelles ou poèmes, parmi les plus emblématiques d’Edgar Allan Poe, tels que la Chute de la maison Usher, le Masque de la mort rouge, ou encore le Corbeau.

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