nicholas

J'ai découvert cette série en numérique avec l'abonnement de lecture illimité sur bdBuzz. C'est une bonne série d'héroic fantaisy, avec un quelque chose de torturé, un peu comme les chroniques de la lune noire.

Ce second tome est dans la même lignée que le premier tome, bon scénario, bonne action avec des personnages aux psychologies torturées, dessin qui se défend. Une lecture d'héroic fantasy très plaisante.

J'ai découvert cette série en numérique avec l'abonnement de lecture illimité sur bdBuzz. C'est une bonne série d'héroic fantaisy, avec un quelque chose de torturé, un peu comme les chroniques de la lune noire. Le premier tome installe très bien la légende du roi Maudit Élias.

J'ai découvert cette série en numérique avec l'abonnement de lecture illimité sur bdBuzz. C'est une bonne série d'héroic fantasy, avec un quelque chose de torturé, un peu comme les chroniques de la lune noire.

Ce troisième tome est un peu en deçà des deux premiers tomes, avec beaucoup de longueur et des textes qui se paraphrasent. Dommage car l'univers dans lequel nous sommes portés est toujours très intéressant.

Le second bémol est que la série est non achevée. Ce troisième tome a été publié en 2007 et plus rien depuis. Je n'ai pas vu de communication de la part de l'éditeur sur l'officialisation de l'arrêt de la série. je suis preneur de cette info si vous l'avez.

Abraracourcix charge son plus fidèle combattant, j'ai nommé Astérix, pour veiller personnellement sur un chaudron rempli de sesterces confié par Moralélastix, chef gaulois d'un village gaulois dont la morale et son honneur est vendu au plus offrant. Il veut échapper à l’impôt romain.

Or dés la première la nuit, des voleurs s’introduisent dans sa hutte et dérobent le chaudron. Par sa faute, le village est déshonoré. Astérix est banni du village à moins qu'il ne retrouve le chaudron ou qu'il gagne par lui même l'argent perdu. Son grand ami, Obélix, se bannit de lui-même pour l'aider dans sa quête aux sesterces. Ils vont apprendre que ce n'est pas si facile de gagner de l'argent...

Scénario parfait, multitudes de personnages secondaires, dont un certain nombre farfelus... et puis il y a bien entendu le fameux Moralélastix. Du très bon, de l'excellent !

J'ai fortement aimé le premier cycle d'Aquablue, mais j'ai été moins emballé par l'entame de ce second cycle, dont le découpage et la densité des bulles rendent complexes la lecture. Bien plus, les dessins repris par Ciro Tota ne sont pas au niveau du dernier album, Corail Noir. Pa exemple, le personnage principal, Nao, est bodybuildé et a des faux-airs de Conan le barbare. Bref, une déception...

Pour les rebelles d'Aquablue, l'heure de la victoire semble proche grâce aux armes du Mégophias. Cependant la force armée de la Terre, la Légion, bien plus puissance que l'armée privée Morgenstern arrive sur Aquablue. Face à ce danger, l'appel aux dieux ancestraux semble nécessaire.

Cet album regagne en cohérence. Les dessins se sont fortement améliorés et deviennent aboutis, rendant la lecture de ce quatrième tome très agréable.

Suite du premier cycle. Rebondissement de l'histoire avec l'apparition du Mégophias, le vaisseau pirate et son capitaine. L'histoire se tient bien, on pourra toutefois reproché la rapidité avec laquelle le vaisseau pirate extermine les troupes de la tante Morgenstern, si fortes dans les deux tomes précédents.

La suite du deuxième tome est toujours d'aussi bonne facture. On y découvre Nao, qui retrouve la Terre. Il revient afin de récupérer l'héritage légitime de ses parents qui lui permettra de devenir riche, mais surtout propriétaire des armées de sa tante qui occupent Aquablue. Pas évident pour Nao de se faire aux arcanes de fonctionnement du pouvoir sur terre.

Dessins et couleurs toujours un peu datés, mais ça fonctionne toujours bien.

Ce troisième tome lance un triptyque avec différents thèmes pour notre plus grand plaisir. Meurtre ou accident du bourreau de Barro-City qui vient de mourir, empoisonné par la morsure d'un serpent, le Verde ? Suivi de la nouvelle fonction de Bouncer, celle du bourreau, métier marqué par l'infamie dans l' Ouest Américain. Puis la lutte contre Clark Cooper et Mara Mars, les riches propriétaires de la vallée qui en veulent toujours plus.

Tout est très bien ficelé dans ce troisième tome, où les auteurs prennent le temps de mettre en place les intrigues. Dessins de Boucq toujours aussi exceptionnels.

Seul un druide, à la fois druide et espion, peut recevoir et transmettre à César la recette de la fameuse potion magique qui rend invincible. C'est devant ce constat de Caius Soutienmordicus, chef de la police secrète de César, a la fabuleuse idée d'envoyer en mission son meilleur agent, Zérozérosix, dans notre fameux village gaulois. Dans le même temps, nous apprenons avec effroi que de l'huile de roche, ingrédient indispensable pour la potion magique manque à Panoramix. C'est ainsi qu'Astérix et Obélix sont envoyés en Phénicie pour chercher le fameux ingrédient. Zérozérosix quant à lui tape l'incruste...

Qui a dit que Albert Uderzo ne savait pas écrire de scénario ?!? L'histoire fonctionne à merveille comme si l'esprit bienveillant de René Goscinny avait aider l'éclosion de ce superbe album, aux dessins toujours aussi magiques et pleines de vie d'Albert Uderzo.

Entre songe et réalité, nous partageons une journée / nuit avec Marilyn. Scénario et dessin sont parfaits. Un Must-have.

Suite et fin du diptyque. Ce deuxième tome est dans la continuité du premier, scénario et dialogue d s plus affûtés. Peut-être un peu trop de rapidité dans le dénouement de l'intrigue, et puis Ralton, si protecteur de sa fille pendant l'album... Et qui la prend en otage puis la rejette. Très surprenant quand même.

Je viens de relire la série bouncer... En numérique sur bdbuzz.net. Premier tome de la série, qui permet de poser l'histoire du manchot, pistolados du grand Ouest. On y découvre l'histoire de la fraterie du bouncer et de ses deux frères. Scénario du western en bd parfait, dialogue des plus talentueux.

Nous nous trouvons dans un monde post-apocalyptique à la MadMax ou Waterworld. Rien de révolutionnaire dans les deux premiers tomes, mais ça marche bien en termes de rythme, et superbement mis en images et couleurs.