SuperMax

Sociologue de son état,Luka collabore occasionnellement à des enquêtes de police, afin d'en révéler les faces cachées. C'est à Marseille, sa ville d'adoption, qu'il enquête sur le meurtre d'un gamin d'une cité, crime qui, s'il n'est pas élucidé rapidement, risque de mettre le feu aux poudres.

Malgré quelques raccourcis ou clichés, cet album utilise certaines réalités marseillaises pour y placer une intrigue assez riche et sombre dans laquelle les problèmes de société bousculent l'exigence de Luka.

On découvre dans cet album la jeunesse de Choc, ce personnage à la Fantomas. Monsieur Choc achète le manoir de Knightgrave pour en faire le tombeau de sa mère. En s'y promenant, les souvenirs de son enfance reviennent en sa mémoire. Enfance difficile, expliquant sa personnalité de méchant mondial. Un premier tome de très bonne facture. :-)

Ce premier tome de ce beau diptyque nous dévoile les amours de Léonard de Vinci, en retraçant de façon romancée son histoire avec Gian Giacomo Caprotti, surnommé le Salai par Leonard, c'est à dire le diable en italien. Le dessin est magnifique, en particulier les doubles pages, surprenantes de détails et de finesse.

J'ai aimé l'imbrication des 3 récits qui ont lieu dans cet album. J'attends donc avec impatience le 2ème tome pour lire la suite de l'aventure.

Cet album joue des genres dans une atmosphère pleine de suspense. très bon.

De très belles illustrations pour cette suite, et toujours dans la même lignée des deux premiers tomes, à lire sans modération

Voilà un second tome qui offre une conclusion vraiment efficace et captivante à cette histoire. La fraternité se révèle au final humaine devant ses peurs et ses convictions et son égoïsme, le monstre n'étant là que pour servir de détonateur à une fraternité déjà au bord de l'explosion. Un trait vraiment réussi et une colorisation sombre et efficace viennent soutenir cette histoire aux personnages captivants, surprenants et attachants. La conclusion offre un message clair et efficace, un diptyque à découvrir.

Excellent scénario, très cinématographique : la population de la planète se trouve reliée à ce que voit, sent, et ressent un homme dès lors qu'on ferme les yeux. Les auteurs auraient pu aller encore plus loin dans l'audace scénaristique, et ils décident de s'en tenir à suivre les péripéties d'un héros qui perd peu à peu les pédales (mais qui ne les perdrait pas à sa place ?). C'est toujours bourré d'humour et en même temps bien vu.

Toujours de très beau dessins mais l'histoire reste classique avec les bons et les méchants. Dommage. Ce dernier tome de cette belle aventure fantastique est plus violent et moins imaginaire.

Desberg et Marini signe ici un premier tome très réussi. On accroche tout de suite à la série par le dessin, sans erreurs, léché et très "lisible", mais aussi par le scénario qui nous tient en haleine tout au long des 48 pages de ce livre. L'histoire est très agréable et bien menée, sur le thème aujourd'hui récurent de la religion catholique et de ses secrets. On vagabonde donc des origines de cette religion aux aventures du "scorpions" aux origines mystérieuse, et son oposition au cardinal Trebaldi. Magnifico !

Dans ce tome, la machiavélique machination ourdie par les neufs familles se met progressivement en place. La splendide égyptienne engagée pour tuer le Scorpion, fait progressivement de ce meurtre une affaire personnelle. Le scorpion découvre des papiers top secret concernant sa mère. Les personnages me semblent un peu moins arrogants que dans le premier tome, c'est moi qui me suis habituée à leur arrogance... Les dessins me plaisent, leurs couleurs et l'impression qu'ils donnent de courir derrière le Scorpion, voler de toit en toit...

Une fois de plus, Marini nous offre de superbes planches (même si Mejai semble avoir perdu un peu de son charisme a mesure des tomes...).

Malheureusement, le scénario s'essoufle et on aimerait sortir un peu de la cadence "le scoprion est fait prisonnier, il s'enfuit, il est refait prisonnier, il s'enfuit" etc etc... Un peu lassant. A lire, mais la fin se fait un peu trop attendre...

"Le Scorpion" est une agréable série de cape et d'épée mais avec ce troisième volume, elle gagne en profondeur scénaristique et les dessins de Marini, déjà excellents, exploitent de mieux en mieux le cadre romain. Le tout se lit rapidement mais avec beaucoup de plaisir.

Les trois premiers tomes étaient parfaits.... Le suspens était au rendez-vous, les personnages intéressants, captivants et crédibles tout comme l'intrigue. Mais, il manque quelque chose dans ce quatrième opus... On arrive pas à entrer vraiment dedans, on est moins captivé, le scénario (pourtant si bien monté) n'avance pas et reste parfois au dessous de la ceinture.

Heureusement, Marini ne nous déçoit pas et nous livre de très belles planches, hautes en couleur et en action. Espérons que le cinquième tome sera un peu plus ambitieux et intrigant !

Apres avoir acheter le premier tome que j'avais trouve vraiment tres bien et "original" j'ai achete le second puis le troisieme et enfin celui-ci, mais vraiment la qualite est tombee de bien haut pour avoir un tome 3 vraiment regrettable, ici le tome 4 continue sur la piste, un peu mieux que le precedent, mais rien d'extra. Dommage :-(