spitfire89

On retrouve ce nouvelle opus de ce Manfra (Manga Français), ce tome marque un tournant à l'histoire avec une atmosphère plus sombre et cruelle, quelques révélation sur Luth et l'univers. Une construction bien ficelé, de bon graphisme, une suite toujours agréable à découvrir. J'avais découvert le premier opus grâce aux animatrices de l'ex forum de culturalivres lors des talents de l'enseigne.

Anaële Hermans aborde un sujet difficile avec l'handicap d'une femme suite à un AVC, un personnage, Claire tourmenté par des difficultés de langage et cherchant constamment ses mots. Elle doit accepter ses difficultés et vivre telle qu'elle est. En Galice elle en convalescence, nettoie bénévolement le mazout sur les rochers suite à une marrée noir, elle fait des rencontres, apprend la plongée sous-marine, la vie de marin et la restauration de bateau. Elle se reconnecte avec la nature, se ressource auprès de la mer et crie face à l'horizon. Tout cela pour oubliè la maladie, la rupture avec son petit ami.
Une lecture sur une reconstruction de soi, une reconnexion à la nature, un album poétique faisant le parallèle entre la vie de Claire et la mer qui renaissent à leurs façon.
De la sensibilité et de la délicatesse entre le scénario d'Anaële Hermans et les graphismes de Sandrine Revel.

Le jeune éditeur Tsubasa va tout faire pour que sa première autrice débutante Kenzaki se hisse parmi les meilleurs mangakas. Une série intéressante, sur le milieu du manga et les métiers de l'édition sous plusieurs angles mais ce nouveau volet est moins instructif par rapport au précédent.
Par contre quelques révélations sur le passé du duo. Kouji Seo tombe de temps en temps dans la facilité et l'exagération. Un mangas qui reste rythmée et immersive

Seinen déjà adapté en animé, en série et en film. Cette saga comporte aussi un spin off préquel Gambling School Twin.
Le graphisme est sympa, une intrigue qui montre la perversité humaines que l'on retrouve dans différentes séries de manga. Une critique social prenante et malaisante, avec une héroïne audacieuse qui risque de briser les barrières, un tome fluide et immersif qui pose les bases. Lutte social, Stratégie, Académie, Élite, Jeux de hasard, Harcèlement.

Netflix va diffusé prochainement (15 mai 2025) une adaptation britannique en série librement inspiré du manga Bet, développée par Simon Barry, scénarisé par Tabia Lau avec Miku Martineau, Aviva Mongillo, Alex Hook, Laura Afelskie et Dorian Giordano.

Jung Seonyul et Hess nous offre une nouvelle série manga qui possède des aspect assez similaire à Solo Leveling avec un protagoniste qui va augmenter ses niveaux de combattant, un mode de compétence, des donjons et des monstres de plus en plus puissants. On aura un héro qui s'oriente plus au niveau de magie. Un raider qui va effectuer des raids dans des donjons pour affronter des créatures en collaborations. Action, rebondissement et surprise.
De bon graphismes même si quelques scènes de combats sont flou. Une aventure légèrement sombre.

Ce premier tome introductif aborde des thèmes comme l'handicap, l'exclusion, l'extrémisme politique, la lutte des classes et du contrôle de la tech. On s'attache facilement à Yuko une héroïne forte et touchante, en quête de liberté, dans une atmosphère entre blade runner et new york 1997, les scènes d'actions sont dynamique. Une série graphique qui existe en deux versions l'une noir et blanc et l'autre coloré, pour ma part j'ai découvert la version N&B plus oppressante. Le scénario et les graphismes sont percutant.

Troisième opus de la saga "The Nice House" dans le final du précèdent arc Walter affirmait que d'autres groupes comme le leurs existaient. Avec The Nice House By Sea on en a la confirmation. Contrairement à Walter, Max ne contourne pas les règles pour inclure ses amis d'ailleurs un ami de Walter est parmi ses nouveaux convives. Un tome 3 fantastique, mélancolique, effrayant qui reprend les principes du premier cycle en les redéveloppant différemment on à l'air de se concentrer sur la symbiose des individus en groupe dix inconnus au lieu de dix amis de The Nice house on the Lake et là où l'ont s'est arrêté. Une nouvelle galerie de personnages à découvrir, le haut du panier selon Max, des perspectives différents mais est-ce que le résultat sera t'il différent entre la maison de Max et celle de Walter.
De bon graphismes, une lecture prenante, maisons concurrentes, esprit résolument plus compétitif, deux conceptions de la réalité très opposées.

Dandadan arrive à se renouveler, les personnages au combien attachants, pleins de rebondissements, des graphismes détaillés, un rythme très soutenu, Momoka et Okarun essayent d'envoyer Mémé-Turbo en infiltration au poste de police mais tout ne va évidement pas se dérouler comme ils ont imaginé. Un lycée prenant des allures de zone de combat. Heureusement les personnages secondaires viennent les aider. Gros délire et humour absurde, j'aime toujours autant cette série qui ne s'essouffle pas.

Une saga toujours déjanté, ce quinzième ne fait pas exception avec un scénario qui par toujours en roue libre, notre bande va donc être mis sous surveillance par un étrange individu, la déléguée de classe est persuadée qu'Okarun est un vampire et la manipule en plus lui même tente de réparer la boule. Yukinobu Tatsu confirme son talent avec ses scènes d'action totalement barrées et dynamiques, une protagoniste qui se fait seul un énorme film. Nouvel ennemi, dangers, humour, tension et chaos, personnages poussé à leurs limites. Une saga séduisante.

Ce dernier volet conclu dans sa première partie l'intrigue, de l'action avec le duel final, un combat rapide et expéditif manquant de suspense. J'aurai apprécié d'avoir une partie plus longue en zappant l'histoire bonus qui est malgré tout drôle et divertissante.
Un saga sans prise de tête mais je ne la conseille pas.

Une suite qui est meilleur que le premier opus, les graphismes et l'ambiance sont bien plus prenant, on retrouve plus d'action avec les premiers adversaire qui viennent perturbé l'examen pour l'entrer à "Recette". Les scènes de combats sont originaux. Un tome 2 sucré gourmand et pétillant. L'action explose ici.

Je découvre ce premier tome dont le résumé s'annoncé drôle et original mais j'ai eu bien du mal à m'accroché au scénario et aux personnages. le rythme est lent au début, les péripéties sont un peu grosses et manque de crédibilités. Coté graphisme c'est positif, colorées et dynamique. Les protagonistes ont un caractères bien trempés et des pouvoirs inhabituels, l'action et l'humour compense.

Final de cette série, riche en actions et en twist plot. L'univers est intéressant et court. Les personnages sont toujours aussi attachants. Un tome très rapide prenant et intense. Mais un peu de frustration sur le rythme car on aurait aimer de continuer cette aventure un peu plus longtemps. Les illustrations étaient magnifiques, assez vifs et très plaisants. Avec ce final on se demande si on ne fini pas un cycle plutôt qu'une saga.

Le tome démarre très vite, le passé d’Idan vite révélé, on nous met rapidement dans l'action. L' intrigue est toujours aussi maîtrisée, rythmée et prenante et on voit clairement vers quoi se dirige le scénario. On en apprend un peu plus sur le pouvoir des alchimistes de l'âme, on apprécie aussi la galerie de personnages toujours attachants. Beaucoup de suspense. Les graphismes sont toujours bien détaillés.

Une excellente suite pour ce manga Y.A qui aborde les traumatismes et le harcèlement en y mêlant aussi des pouvoirs. Action, Réflexion, Ambiance pesante, Mystère.
Une lecture agréable, intense et riche en rebondissement, les graphismes sont soignées et dynamique. On en découvre plus sur John.

Un premier tome introductif. Une ados à la double identité, une mission en tant que super héroïne sauver le monde comme ses homologues dans chaque pays. Une protagoniste fraîche, une intrigue assez classique. Un premier opus sombre, un Nekketsu agréable avec de bon graphismes.

Une oeuvre qui tente de porter et analyser le regard sur les oeuvres du Louvre, tout va se passer dans le regard, très expressif des protagonistes de ce tome. Chaque oeuvre à une histoire, quelque chose à exorciser et demande une intervention celle de Fauve Navarre. On plonge dans un miroir de l'âme. Avec des graphismes monochrome on fait parler des oeuvres avec émotions. Fauve possède une culture artistique, des connaissances et une sensibilité. C'est aussi un hommage au patrimoine culturelle et au métier de guide. La narration est rythmée, drôle et les personnages intéressants. Un style visuel très agréable.

Je redécouvre la série policière Camilla Läckberg mettant en scène Erica Falck et Patrik Hedström. Note : j'espère pouvoir rédiger de nouveau un avis sur le roman j'ai perdu mon ancienne critique à la fermeture de Culturalivres.

J'ai adoré me replongé dans cette enquête dans sa version graphique même si je connaissait déjà la fin, l'adaptation est réussi visuellement d'un point de vu graphique le choix des couleurs et le détailles des décors et expressions sont a couper le souffle. On ce qui concerne l'intrigue elle est plus simplifié en raison du format. On plonge bien dans l'ambiance, on conserve du suspense et de la tension. Une lecture qui tient en haleine.

Un huis clos qui se déroule principalement dans un manoir de L.A qui appartenait à un magnat de l'industrie à l'obsession malsaine pour le paranormal. Un récit complexe avec une élite fortunée en quête de sensations fortes et de réponses occultes avec un lieu cachant de nombreux secrets. Un album qui entrecroise histoires personnelles des protagonistes, explorations de différentes temporalités en lien avec les événements passé dans certaines pièces du manoir. Une ambiance oppressante et onirique, des thèmes profonds, des trigger warning avec des scènes d'effrois. le lecteur est invité à assembler les pièces du puzzle dans une intrigue asez confus fait de manière délibérer par l'auteur pour accentuer l'ambiance.

Horreur, Surnaturel, Huis clos.

Une lecture qui sort des sentiers habituelles, on est immédiatement happé par cette expérience déroutante, envoûtante, intense et démonique.

Album one shot de Red Sonja Gail Simone et Walter Geovani mettent leurs talents en commun pour faire vivre l'héroïne décrit et illustré avec finesse. Une lecture intense, des secrets, une aventure épique pour cette Conan le barbare version féminin, une belle mise en couleurs de Lucas Adriano.

L'adaptation annoncé en 2022 les première image du film commence a circuler réalisé par M.J. Bassett avec Matilda Lutz (Red Sonja), Robert Sheehan,
Wallis Day (Dark Annisia), Michael Bisping et Rhona Mitra.