spitfire89

Le titre de cette nouvelle série BD est directement inspiré du film de Colline Serreau La belle verte, critiqué pour ses aspects convenus sur la cause environnementale à sa sortie en 1996, mais qui connait depuis lors un fort succès d’estime.

C’est une excellente manière d’embarquer les jeunes lecteurs dans la cause écologiste, qu’a trouvé là Loïc Nicoloff, le scénariste repreneur des aventures policière de Léo Loden.

les dessins d’Antoine Losty n’est pas en reste. Rythmé dans son trait dynamique et son découpage, stylisé et coloré, il ne néglige aucun décor et joue la juste gamme de l’expressivité des personnages.

Tomei éprouvant. Miu Miura met un terme à cette histoire où les effusions de sang côtoient le gore. On sent clairement que l'autrice prend un soin particulier à rendre dérangeant chacun des aspects de cette histoire, aussi bien sur le plan visuel que scénaristique. Si le premier volume conservait une humanité grâce à quelques une de ses figures, cette suite et fin en est une contradiction totale tant elle mise sur la surenchère de violences, physiques ou psychologiques. les amateurs de récits du genre, amoureux de sensations fortes qui se détachent totalement d'une quelconque vraisemblance, peuvent être ravis : Le titre ne faiblit jamais dans cette tonalité jusqu'à ses dernières pages qui, elles, proposent un poil d'apaisement via une conclusion douce amère qui correspond bien au titre, et évite partiellement la clichée fin ouverte.
Une conclusion de l'auteur qui ne plaira peut-être pas à tous, à cause de ce qui est fait de quelques personnages et de révélations dont on pouvait peut-être en attendre plus. Miu Miura a répondu a énormément de questions, presque toutes, et se paie le luxe d'aborder très légèrement l'enfance et l'âge adulte

Un manga agréable à lire, le personnage me fait penser à Naruto par son graphisme, un peu carré et anguleux. L'auteur de ce manga joue avec des clins d'œil sur des jeux vidéo bien connu même si il à changé leur nom. Au Japon il existe 4 tomes de plus l'histoire était prépublié de 2017 à 2020 dans le magazine Bessatsu Coro Coro Comic des éditions Shogakukan sous le nom de Game Senshi Bit!, Power Gamer Adventure. Un nouveau volet avec de nouvelles idées pour ne pas que le lecteur s'ennui. Nouveaux personnages, nouveaux obstacles, une avalanche de gags, une formule efficace. 

Un manga toujours aussi original sur la colonisation de mars, un brin de fantaisie, de la poésie et des décors. Un tome 2 légèrement en dessous. Mais les graphismes sont merveilleusement réussit et beau.

Une saga BD que je conseille énormément, action et humour. Une belle palette graphique

A travers cette Bd un sujet assez délicat y est traité, la vie des personne âgées en établissement se santé ou en résidences. Amour, Amitié et Air Angélique rythme cette lecture. De Brigitte Luciani et Claire Le Meil

J' ai dévoré cette BD, l'auteur nous livre une belle Bd graphique au trait unique et au couleurs pastels avec énormément de détails, une histoire humaine, touchante et épique mêlant frénétiquement action, violence et poésie, cependant parfois les traits du visage ou les arrières plans sont flou.
L'auteur nous propose un divertissement sur fond d'interrogation. De même que le moteur soit le destin de nos héros, l’auteur nous proposera d’autres réflexions plus personnelles. Ainsi il sera question de diverses thématiques comme l’importance que chacun peut accorder à la religion et à la notion artistique. En outre la différence d’Osman permettra de s’intéresser au fait de pouvoir trouver sa place, sentir son appartenance à un groupe !

Des dessins de très bonne qualité, on suit à l'aide de flashbacks l'histoire de ses trois protagonistes à qui la guerre va, encore une fois, bouleverser les existences. L'histoire est intéressante, prenante et donne l'envie d'en savoir plus. le contexte est riche et bien rendu et la narration sur deux époques est bien dosée.

De plus j'ai découvert Henriet et Yann avec Black Squaw

Un bon tome 1, une héroïne bad ass, captivante, attachante, de l'action, des rebondissements. De bonne planche.

Le talent scénaristique d’Arleston n’est plus à démontrer accompagner du talent graphique d’Adrien Floch. Arleston sait doser sans pareil les genres et les codes - SF, fantastique, heroic fantasy.

Les rebondissements inattendus et les mésaventures s‘enchaînent à une telle cadence que le lecteur se retrouve dans la peau d’un quatrième naufragé qui tente de découvrir l’étendue de l’aventure dans laquelle il est embarqué.

Version manga du célèbre animé, aucune surprise sur l'intrigue, de bon graphismes

Le Fire Power est l’arme ultime que les protagonistes tentent de s’approprier au temple, alors forcément, pour quelqu’un comme moi (entendez élevé au Club Dorothée), ça fait penser directement au Kamehameha de Dragon Ball. Pour les plus jeunes, les références iront plus du côté Marvel avec la série Iron Fist. Du coup l’action est partout et l’humour omniprésent est distillé avec beaucoup de finesse et les références sont très nombreuses et très intelligemment amenées. Les dessins apportent le dynamisme nécessaire à l’histoire et tout est magnifiquement contrôlé. Un régal.

Quête d’identités, secrets, rivalité, amour, amitié, respect, sont des thèmes abordés dans ce premier tome qui nous éclaire un peu plus sur l’histoire d’Owen et le mystère de ses parents. Et bien malin qui saura dire où va nous mener l’histoire qui est narrée ici en huis-clos, et c’est bien là ce qui la rend excitante et captivante.

Une approche inédite, intime et documentée de la vie de St Ex.

2 auteurs passionnés d'aviation nous font découvrir comment cette passion a jalonné la vie et l'oeuvre de l'auteur du Petit Prince. Bernard Chabbert, pilote-journaliste, fils d'un autre aviateur de l'Aéropostale ami de St Ex, et illustré par les superbes compositions d'un peintre-pilote exceptionnel : Romain Hugault.

Jessica Cioffi est une artiste ayant fait les Beaux-Arts de Bergame qui signe ses albums sous le nom de Loputyn. Elle se consacre au dessin et à l'illustration autodidacte.
Loputyn s’est fait connaître dans l’univers manga, entre autres, avec sa saga Cotton Tales. Son trait, caractéristique, est un savoureux mélange de traits typiques de l'école manga avec l'atmosphère et les couleurs de l'illustration européenne du XIXème siècle. Une magnifique rencontre graphique alliant plusieurs techniques pour nous livrer une atmosphère maléfique et ensorcelante, avec un léger bémol sur l’incarnation humaine du renard, qui reste un peu trop moderne pour le contexte. Cette originalité graphique compense un scénario un peu léger mais bien construit. Simple, l’histoire est courte en elle-même.
nous pouvons y voir l’allégorie de la rencontre qui nous permet de comprendre qui nous sommes vraiment, puis de construire son propre chemin et non celui dicté ou déjà tracé par nos pairs. Un one-shot agréable à lire, que les lecteurs apprécieront d’avoir dans leur bibliothèque pour le réel plaisir des yeux

Un nouveau tome dans la ligné du premier, on découvre plus sur les personnages, optimisme, écoute, force tranquille, douceur et brutalité. Jeux de pouvoir politique, religieux et militaire. Un second tome plus lent, une thématique aussi animalière avec l'apiculture, de nouveaux personnages, une tranche de vie et une aventure avec des complots.

"Il y a une légende à leur sujet. On raconte que les dieux auraient envoyé ces récits sacrées à Yojeh. Elles sont rares. Les femelles ne peuvent donner naissance qu'à un seul petit à la fois et il n'y a quasiment plus d'Ojû sauvages. Beaucoup d'Ojû vivent sous la protection de Yojeh mais pour une raison inconnue, il semble que ceux-ci ne peuvent pas mettre bas. Quand il y a une naissance dans la famille royale, la coutume veut que l'on lâche les Ojû dans les jardins en signe de reconnaissance des dieux. A cette occasion, un petit ôju sauvage est offert à la famille royale. Je me demande comment la personne chargée de le capturer arrive à l'arracher à sa mère. Tu as vu comment elle est sans pitié."

Un Seinen, mélancolique, émouvant, triste. Elin est attachante, on ressent beaucoup de compassion pour elle.

On troque donc la douceur de Créatures Fantastiques contre une dureté et une violence évidente.

Un tome toujours autant déjanté, un périple toujours mouvementé, une intrigue en exagération, situation loufoque, on reste dans la même ligné que les précédents tomes.

Nous poursuivons l'aventure dans la même ligné du premier tome. Zombies, loufoqueries, humours, Akira commence sa Bucket list, Ce manga mêle des sujets légers et sérieux. De bon graphismes, Pas d'essoufflement dans le rythme et l'intrigue. Un manga qui vous fait mourir de rire.

Une série de manga pour un publique adulte ou avertie, apocalypse zombie, genre Gonzo, de l'humour, de la folie, une saga déjanté dans la veine de Dandadan. De belles illustrations dans les tomes que j'ai découvert quelques trigger warning avec de la violence et de la nudité. On peu le classer aussi comme ecchi. Des personnages intéressants.