nicholas

Vincent en quelques mots exprime magnifique cette histoire complète en un tome "Tracnar et Faribol conjugue tragique et burlesque pour le plus grand plaisir des lecteurs"... On prend grand plaisir à lire cette histoire... mais qui aurait pu être déployée au-delà de 56 pages ... Le récit par moment est (trop) rapide dans sa narration... Graphiquement c'est superbe, même si par moment, il n'est pas toujours aisé de bien distinguer les personnages entre eux.

Depuis la révolution de 1917, les bolchéviques ne s'en prennent plus seulement aux Blancs, fidèles à l'empire, mais à tous les opposants, notamment leurs anciens alliés les anarchistes. C'est dans ce contexte de guerre quasi-totale, où se retrouvent deux amis d'enfance, que tout aujourd'hui sépare : d'un coté Yuri, le cosaque anarchiste, de l'autre Nikita, rouge sanguinaire... Au milieu, Nadia, une enfant, qui a le malheur d'être la dernière descendante des Tsars...
Ce très beau et bon récit est le premier album de Mélody Cisinski, story-boardeuse de chez Pixar...ou plutôt la première story-boardeuse française arrivée chez Pixar ! Un dessin superbe synthétisant l'influence de Disney, des mangas et de Pixar bien entendu. Maintenant, c'est l'attente cruelle du second tome !

L'un de mes albums préférés de la série... Au Royaume-Uni, la situation est des plus critiques. Il y a pénurie de thé et les Preshauns peinent à contrôler leur pendant bestial. Mais d'où vient cette pénurie? est-ce fait volontairement ? organisé par les humains du monde d'Ekho ? les Authentistes ? Intrigue parfaitement maitrisé jusqu'à la fin de cet album...

On s'éloigne du sujet des Preshaun, pour suivre Fourmille qui va suivre en tournée la bomba latina Soledad... cette fois-ci Fourmille va se réincarner en un gros moustachu Texan... pas très fin

Un album entre deux. on s'éloigne de l'intrigue des Preshauns... pour tomber sur le combat de Godzilla contre King-Kong à la sauce du monde d'Ekho. Une pause dans la série un peu surfaite, alors que le tempo de la série était bien relancée.

Retour sur les Preshauns, et retour sur une cohérence scénaristique de la série que nous avions temporairement perdu lors du dernier album...Dans tout le monde d'Ekho, les Preshauns meurent de honte après avoir brusquement perdu leurs poils... idée bien trouvée... qui pousse notre chère et tendre Fourmille à enquêter. Beaucoup d'humour, une bonne intrigue et un graphisme aux couleurs chaudes et magnifiques.

On retrouve Fourmille dans cette cinquième aventure qui redonne tout l'intérêt à la série, comme l'écrit Marlène. On y découvre enfin toute la complexité au sein de la société des Preshauns et de l'équilibre de ce monde miroir, qui se trouve notamment au Vatishaun.

Ce 4ème tome ne relèvera pas le tome précédent, déjà un peu faible. Cette quatrième aventure est ni plus ni moins le plus faible de la série... Fourmille se réincarne en chat, prétexte permettant à Alessandro Barcucci de mettre sous toutes les postures (plus ou moins explicites) notre chère Fourmille... pas suffisant… mais je spolie un peu… le cinquième tome redonne tout le sens de continuer à suivre la série… ouf

La critique de Gilles est un peu dure... mais c'est vrai qu'il y a peu de surprises sur ce scénario... où l'on tombe très rapidement dans les clichés d'Hollywood et de Maryline Monroe... Pas de surprise donc, et c'est bien dômmage.

Un second album plus convenu, moins travaillé, dont toutes les intrigues se referment rapidement.... trop rapidement....

Un premier tome lançant de multiples pistes, intrigues... le tout dans une ambiance de fin du monde des mieux trouvés... une SF historique, original !

Un de mes méchants préférés de la bd... mais je n’ai as réussi à tomber dans l’univers de Munuera, pourtant très graphique. Dommage.

Malgré un fort attachement à la période des lumières, avec tous ces nouveaux philosophes et leurs nouveaux mode de pensées, je nE suis pas arrivé a plonger dans l’univers de Voltaire, très verbeux et complexe à lire. Le dessin de clement Oubrerie ne permet pas d’effacer ces premières barrières à la lecture.

Ce premier tome de la série Ekho est certainement le plus original, nous emmenant dans un monde parallèle au notre, rempli de bestioles bizarres, mais également humains... On y découvre New-York comme aucun visiteur terrestre ne l'a encore connu... Entre dessins magnifiques d'Alessandro Barbucci, humour un peu potache d'Arleston, le lecteur (plutôt masculin quand même...) se délecte les babines :-)

30 ans après, je redécouvre avec ma fille de 9 ans les premières aventures de Spirou et Fantasio. Un imaginaire débordant, du rythme, du suspens (dixit ma fille), un dessin déjà très léché, des couleurs pétillantes... un album qui n'a pas pris une ride en plus de 70 ans. Chapeau bas....