Le malheureux Iruma a été vendu par des parents cupides à un démon qui le gâte comme son petit-fils. Une nouvelle vie commence pour lui à l'école des démons, où personne n'a jamais vu d'humain mais tout le monde rêve d'en dévorer un ! Dans sa nouvelle école, le pauvre Iruma ne cesse bien malgré lui de s'attirer des attentions malvenues. La dernière en date est celle de la présidente du conseil des élèves, qui le soupçonne d'être un humain !


Série : Iruma à l'école des démonsTome : 2/19Éditeur : Nobi Nobi !
Scénario : Osamu NishiDessin : Osamu NishiTraducteur : Yohan Leclerc
Collection : Shônen
Genres : Manga, Shonen
Prix : 7.20€
- ZOO
4.0
Scénario
4.0
Dessin
4.0
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Le synopsis du manga
La critique ZOO
Un humain ne peut certes pas arrêter un ballon démoniaque à mains nues mais notre pouvoir est encore bien plus puissant ! Retrouvez Iruma toujours plus dans la galère mais bien déterminé à ne pas regagner le monde des humains dans ce tome délicieusement décalé.
Iruma est toujours sous couverture à l’école des démons et continue de briller involontairement dans toutes les classes. Il manque de se faire repérer par la présidente des élèves, qui l’épargne finalement en échange de cours sur les mœurs des humains. Gagnant petit à petit en confiance en soi, il se rend compte que revenir chez ses parents ne serait pas la meilleure option.
L’humour se fonde encore davantage que dans le premier tome sur le décalage entre le monde des humains et le monde des démons. Iruma tente désespérément de passer inaperçu alors qu’il est mis en danger de mort sans arrêt par méconnaissance des règles. Par exemple, un tournoi démoniaque se transforme en vulgaire balle au prisonnier faute de budget, un désagrément très humain… Les personnages sont égaux à eux-mêmes, complétement indifférents à l’étonnement ou à la souffrance d’Iruma. Cependant, tous sont petit à petit conquis par Iruma…

Dans sa nouvelle école, le pauvre Iruma ne cesse bien malgré lui
de s'attirer des attentions malvenues
Le graphisme joue sur les changements de style pour faire rire. On passe ainsi indifféremment de petites cases schématiques à des plans très réalistes pour souligner l’intensité dramatique. Toujours aussi drôle, la série devrait arriver à se réinventer au fil des tomes car elle joue sur les attentes du lecteur. Les possibilités sont donc infinies.
