Des hommes censés être honnêtes reçoivent la visite d'un être mystérieux leur annonçant qu'il leur reste 5 heures à vivre avant d'être conduits en Enfer. Ils tentent de fuir mais à l'heure dite ils sont emmenés, ne laissant que des corps calcinés derrière eux ! Certains y voient la volonté de Dieu de montrer les supplices qui les attendent, d'autres souhaitent découvrir qui tire les ficelles...

Hellbound - L'enfer - T2

Série : Hellbound - L'enferTome : 2/2Éditeur : Kbooks
Scénario : Choi Kyu-sok, Sang-Ho Yeon
Genres : Manga, Manhwa, Seinen
Public : À partir de 16 ans
Prix : 14.95€
- ZOO
4.0
Scénario
0.0
Dessin
0.0
- Lecteurs0 critique
Le synopsis du manga
Premier train pour l'enfer

Mardi matin, l’empereur, sa femme et le p’tit prince sont venu me voir pour… prophétiser ma mort dans Hellbound, chez Kbooks.
Un homme vient de mourir en pleine rue bondée de Séoul, décarcassé, puis brûlé vif par trois démons brutaux, massifs et carnassiers. Il est dit que sa mort lui avait été annoncée peu avant, à la minute près. Les preuves visuelles de l’existence de ces exécuteurs infernaux sont tout aussi accablantes et indéniables qu’incapables d’expliquer ni leur nature ni leurs intentions cachées. Un corps de police coréenne incrédule, mais professionnel jusqu’au bout, puis plus précisément un policier cassé par la vie, mobilisent leur esprit cartésien pour résoudre ce qu’ils considèrent comme un meurtre. La population voit ça comme un acte vengeur de dieu. En effet, une secte qui ne cache pas son implication dogmatique prône l’expiation divine forcée. Et si toutes les victimes étaient des criminels, changerions-nous notre façon d’appréhender cette tuerie ?
Non de dieu
Hellbound profite de bases fantastiques pour subrepticement aborder de bien plus graves sujets théologiques. La piste principale, et le problème principal des enquêteurs, réside dans les agissements fanatiques d’humains endoctrinés incontrôlables. Quoi qu’extérieurement très typique du découpage d’un webtoon, le récit du réalisateur du Dernier train pour Busan est assez sobre, calme. Son découpage en vignettes alignées en colonne verticale encadre un récit qui encapsule visuellement ses personnages et intensifie l’effet d’enfermement et d’éloignement d’entités qui se cloîtrent dans leur souffrance.
