Shiho Sawaragi se fait voler l’argent du voyage de classe dont elle était responsable. Le coupable est forcément l’un de ses camarades de classe ! Quelques jours plus tard, cinq élèves dont Shiho sont enlevés et forcés de participer au « jeu de l’amitié » afin de rembourser la dette de l’un d’entre eux. S’engage alors une guerre des nerfs sur fond de calculs, trahisons et révélations blessantes entre amis…

Friends Games - T2

Série : Friends GamesTome : 2/16Éditeur : Soleil
Scénario : Mikoto YamaguchiDessin : Sâto Yûki
Collection : Seinen
Genres : Manga, Seinen
Public : Tout public
Prix : 7.99€
- ZOO
2.0
Scénario
1.5
Dessin
2.5
- Lecteurs0 critique
Le synopsis du manga
La critique ZOO
Cinq lycéens se retrouvent embarqués malgré eux dans le jeu de l’amitié. S’ils le réussissent, la dette de cinq millions de yen de celui qui les a entraînés dans ce jeu est soldée, sinon tous devront payer. Après une première étape pleine de surprises, ils arrivent encore soudés à la deuxième épreuve... Ce deuxième tome au suspense prenant est gâché par l’identification facile du traître dans le groupe...
La deuxième épreuve, nommée le jeu de la médisance, fait vaciller la solidarité du groupe d’amis lorsqu’ils apprennent que Shiho Sawaragi a des sentiments pour Yûichi Katagiri. Les tensions s’apaisent au fur et à mesure des explications et des révélations sur l’histoire d’amour passée entre Shiho et Tenji. La conversation semble tout avoir remis à plat mais les désillusions de cœur laissent toujours des blessures prêtes à saigner de nouveau.
Ce deuxième volume tourne exclusivement autour du jeu de la médisance où chacun dévoile ou non le secret d’un de ses amis... Le ton monte d’autant plus que l’un des cinq lycéens attise le feu. Alors que ses camarades ne sont pas au courant, le lecteur apprend de but en blanc qui est le traître ce qui coupe l’herbe sous le pied à toute montée de suspense. Alors que cette révélation est assortie des motivations du traître, le récit met en place une surprise secondaire pour la fin du volume.
Comme dans le premier volume, le dessin se focalise davantage sur les visages et les postures que sur le décor. Si les expressions bien rendues mettent le coeur des personnages à nu, l’absence de décor dans un jeu aussi particulier enlève une part du fantastique, amoindrissant un peu le plaisir de lecture.
Ce deuxième volume de Friends Games, dont le dernier tiers est constitué de bonus dispensables, avait commencé avec une montée d’adrénaline pour finalement retomber...
