Casterman

Championne du monde

Avatars

Stel
Le bon Roi
Tout le monde ou presque connaît Little Nemo, ce personnage, créé par Winsor McCay, en 1905, dans les colonnes du New York Herald. L'avènement de ce héros de papier allait considérablement bouleverser les codes alors en vigueur dans ce qui tenait lieu de bande dessinée. La nouveauté du trait, la poésie du scénario et le charme des couleurs allaient faire de cette création d'avant-garde le succès d'Outre-Atlantique que l'on sait de ce début du siècle. Aujourd'hui, Moebius revisite l'univers onirique de McCay que Bruno Marchand met avantageusement en images, proposant ainsi une adaptation magistrale de cette oeuvre majeure en un récit de deux fois 70 pages dont voici le premier tome. Tout comme le Nemo originel, celui de Moebius et de Marchand se révèle être un rêveur patenté qui découvre dans son sommeil paradoxal un pays jusque là inconnu : celui du Sommeil, peuplé de personnages et de créatures fantasques présidant aux destinées de l'étrange royaume de Slumberland.

Le bon Roi
Tout le monde ou presque connaît Little Nemo, ce personnage, créé par Winsor McCay, en 1905, dans les colonnes du New York Herald. L'avènement de ce héros de papier allait considérablement bouleverser les codes alors en vigueur dans ce qui tenait lieu de bande dessinée. La nouveauté du trait, la poésie du scénario et le charme des couleurs allaient faire de cette création d'avant-garde le succès d'Outre-Atlantique que l'on sait de ce début du siècle. Aujourd'hui, Moebius revisite l'univers onirique de McCay que Bruno Marchand met avantageusement en images, proposant ainsi une adaptation magistrale de cette oeuvre majeure en un récit de deux fois 70 pages dont voici le premier tome. Tout comme le Nemo originel, celui de Moebius et de Marchand se révèle être un rêveur patenté qui découvre dans son sommeil paradoxal un pays jusque là inconnu : celui du Sommeil, peuplé de personnages et de créatures fantasques présidant aux destinées de l'étrange royaume de Slumberland.

Le prix de charon
La Femme du magicien
Une femme, un magicien doté d´étranges pouvoirs et une petite fille parcourent le monde en présentant des numéros inouïs. Mais la petite fille grandit et le démoniaque magicien veut en faire sa femme. Entre rêve et réalité, cette BD raconte leurs amours tumultueuses dans un New York de cauchemar.

Le meilleur du chat

La couleur des rêves
Les cigares du Pharaon
Le lotus bleu

C'était la guerre des tranchées
On ne présente plus Tardi et son obsession de la Grande Guerre, première à obtenir de par ses morts et ses blessés le titre mérité de mondiale, véritable boucherie qui empoisonna ses rêves d'enfant, via les histoires de sa grand-mère. Cette obsession qui le poursuit depuis toujours voit son aboutissement dans un récit - C'était la guerre des tranchées - qui résume d'une manière tragique l'anéantissement d'une génération entière. Avec l'aide d'un "conseiller" spécialiste de 14/18, Tardi nous oblige à plonger dans une guerre dont bien peu ont en conscience qu'elle fut la plus meurtrière de toutes.

C'était la guerre des tranchées
On ne présente plus Tardi et son obsession de la Grande Guerre, première à obtenir de par ses morts et ses blessés le titre mérité de mondiale, véritable boucherie qui empoisonna ses rêves d'enfant, via les histoires de sa grand-mère. Cette obsession qui le poursuit depuis toujours voit son aboutissement dans un récit - C'était la guerre des tranchées - qui résume d'une manière tragique l'anéantissement d'une génération entière. Avec l'aide d'un "conseiller" spécialiste de 14/18, Tardi nous oblige à plonger dans une guerre dont bien peu ont en conscience qu'elle fut la plus meurtrière de toutes.

Le Chat au Congo

L'Echo des cités
Le titre de l’album, L’Echo des Cités, est aussi celui du journal dont il retrace l’histoire, depuis son numéro un « historique » daté d’avril 719 jusqu’à sa fin, en passant par les années fastes et celles qui le furent moins… Raconter le parcours de ce mensuel imaginaire (qui, comme bien des journaux du XIXe siècle dont il s’inspire, adosse son iconographie à l’illustration), c’est évidemment, pour François Schuiten et Benoît Peeters, une manière de parcourir en toute liberté le monde des Cités Obscures, au gré des petits et grands événements relatés par le magazine. Place donc aux reportages, articles, enquêtes et indiscrétions de L’Echo des Cités, avec ses scoops, ses indignations, ses maladresses et ses nouvelles formules successives – sans oublier évidemment la fantaisie et l’ironie discrète dont Schuiten et Peeters parsèment cet album en forme de clin d’œil. Leur évocation s’achèvera, dernière pirouette, sur l’inéluctable disparition du journal, supplanté dans les goûts du public par une nouvelle génération de périodiques privilégiant… la photographie !
La sOurce et la sOnde
N'est pas MajO qui veut ! Cyann l'est de naissance. Héritière de la plus importante famille de sOndeurs, la fille du Seigneur Olsimar se trouve propulsée au sommet de la pyramide sociale. Elle n'a qu'un seul mérite, elle accepte de Nacara une amitié sans complaisance. Plus capricieuse qu'autoritaire, plus séductrice qu'amante, Cyann use de ses pouvoirs comme elle abuse de ses charmes. Son égoïsme parviendrait à la perfection, si le destin ne la guettait ! Les péripéties qui l'attendent, dans les Mondes indépendants et sur les Planètes Sauvages, mettront un peu de plomb dans sa tête de bois et, plus inattendu, un peu d'humanité dans le bel animal.

L'Echo des cités
Le titre de l’album, L’Echo des Cités, est aussi celui du journal dont il retrace l’histoire, depuis son numéro un « historique » daté d’avril 719 jusqu’à sa fin, en passant par les années fastes et celles qui le furent moins… Raconter le parcours de ce mensuel imaginaire (qui, comme bien des journaux du XIXe siècle dont il s’inspire, adosse son iconographie à l’illustration), c’est évidemment, pour François Schuiten et Benoît Peeters, une manière de parcourir en toute liberté le monde des Cités Obscures, au gré des petits et grands événements relatés par le magazine. Place donc aux reportages, articles, enquêtes et indiscrétions de L’Echo des Cités, avec ses scoops, ses indignations, ses maladresses et ses nouvelles formules successives – sans oublier évidemment la fantaisie et l’ironie discrète dont Schuiten et Peeters parsèment cet album en forme de clin d’œil. Leur évocation s’achèvera, dernière pirouette, sur l’inéluctable disparition du journal, supplanté dans les goûts du public par une nouvelle génération de périodiques privilégiant… la photographie !

Martine se déguise

La croisée des chemins

Le lutin farceur

Mauvaise graine
L'alligator blanc

L'alligator blanc
Le secret des cornacs

la barrière de feu
Par une nuit sans lune, tous les chevaux de la tribu de Yakari ont été volés. Tous, à l'exception de l'indomptable Petit Tonnerre. Grâce à son poney, le courageux petit Sioux trouvera le camp des voleurs. Mais comment affronter des ennemis en si grand nombre ? Yakari usera de ruses, recourra aux services du polatouche(un charmant écureuil volant), avant de découvrir les vertus du fameux «baumes des Sénécas», qui guérit les plaies des animaux et soulage des humains...

Peines perdues
L'univers de Chauzy se situe entre le polar noir à la française et la fable sèche d'un bluesman de fond de bar. Les drames y semblent trop inévitables, et les issues fatales. Mais le pari est d'en rire et c'est réussi.

La signature

Trait de craie
Après deux jours d'orage et de tempête, un homme aperçoit, depuis son voilier, une île sur laquelle il met le cap bien qu'elle ne figure pas sur les cartes. Il amarre son navire face à un grand mur blanc couvert de graffiti dans toutes les langues. En haut de la digue, une cantine-auberge-buvette-épicerie, seule habitation de l'îlot. Plus loin, un phare désaffecté. C'est un endroit étrange. Un autre bateau vient à accoster, celui d'une femme peu bavarde. Elle revient là pour la deuxième fois depuis qu'elle a la faiblesse de croire qu'un des messages du mur lui est personnellement adressé ... Prix des libraires BD, 1993 ; Alph'art du meilleur album étranger Angoulême 1994, Prix spécial du jury, Sierre 1994.

Les 4as et les extraterrestres

Triple traque

Le chien debout

Tintin au Tibet
Un avion de ligne à bord duquel le jeune Chinois Tchang se rendait en Europe s’est écrasé dans l’Himalaya. Tintin au Tibet (1960), pure histoire d’amitié, sans le moindre méchant, décrit la recherche désespérée à laquelle Tintin se livre pour retrouver son ami. Ce récit pathétique, qui rompt avec le ton extraverti des épisodes précédents, démontre que la fidélité et l’espoir sont capables de vaincre tous les obstacles, et que les préjugés - en l’occurrence, à l’égard de l’"abominable homme des neiges" - sont bien souvent le fruit de l’ignorance.

Le Nain jaune

Des écureuils et des filles

Destination New-York
Jo , Zette et Jocko, le plus malin des singes et compagnon de toutes les aventures fantastiques de ce petit garçon et de cette fille, un trio inséparable qui vit des aventures exotiques !

Martine en avion

Martine à la montagne

Martine au parc
Le parc où joue Martine est vraiment merveilleux. C'est là qu'elle promène sa poupée. C'est là qu'elle retrouve ses amis quand ils jouent au bord de la pièce d'eau. Un petit tour en balançoires, un petit tour a dos d'âne et un spectacle de guignol... de quoi s'amuser tout l'après-midi !

Martine a perdu son chien
A la recherche de Patapouf qui s'est égaré.

Martine en montgolfière

Martine apprend à nager

Martine fait la cuisine

L'Amour hologramme
Un dessin en noir et blanc, classique, réaliste et sophistiqué et un scénario évolutif font de l'Amour Hologramme une subtile et pertinente histoire de science fiction.Une fable politico-ironique au caractere futuriste
Au Fil du Rasoir

Un Point C'est Tout!
Redécouvrez l'humour surréaliste et déjanté de François Boucq à travers cet album mythique regroupant histoires courtes, illustrations et digressions délirantes sur notre monde contemporain.

Intermezzo
Deux ou trois choses que je sais d'eux
''Deux ou trois choses que je sais d'eux est tiré des mémoires de guerre que le major Koinksy écrivît pendant la campagne d'Italie de 1943/45. Koinsky, nous l'avons suivi dans ses aventures militaires en Afrique avec les Scorpions du Désert. Dans l'un de ces récits, l'officier polonais qui servait alors dans l'armée anglaise en Ethiopie, connut le lieutenant italien Stella qui lui, meurt dans l'histoire que vous connaissez sous le nom de J'ai deux amours. En cette occasion, Koinsky tomba amoureux d'une photographie représentant Franca Stella, la femme de l'officier italien disparu. Du débarquement en Sicile, jusqu'au combat final contre les Allemands et les fascistes dans les marais de Comacchio, Koinsky chercha en vain la veuve de Stella. Puis vinrent deux années de guerre sur la côte Adriatique, où il participa à de nombreuses actions téméraires, et, justement, écrivit ses anecdotes de guerre. (..) Voici donc la première partie de ces récits tirés des mémoires du major polonais.'' (Hugo Pratt, dans une introduction à cet album)

Taty, Princesse de Neuilly

Salut tout le monde !
