Casterman

Caraibes

Suite caraïbéenne

Titanic

A toi de jouer Dioggène!
Quatre-vingt huit

Petzi part en mer

Bouche du Diable
« Bouche du diable », c'est le surnom que vaut son bec-de-lièvre au jeune Youri, orphelin recueilli en Ukraine, dans les décombres de la guerre. Mais qu'importe, puisque la nation soviétique a rêvé un destin d'exception pour cet enfant perdu : devenir l'un de ses envoyés les plus secrets de l'autre côté du monde, dans l'enfer capitaliste américain. Et voilà comment Youri, alias Billy, débarrassé de son bec-de-lièvre mais la tête farcie de l'endoctrinement communiste, se retrouve en plein New York, acteur d'une guerre secrète qui fait aussi rage dans son propre esprit... Magnifiée par le trait flamboyant de Boucq et l'humanité à fleur de peau de Charyn, une somptueuse histoire d'espionnage et de destinée qui transcende avec grâce toutes les règles du genre.

La Cadillac blanche
Le musée A. Desombres

La fièvre d'Urbicande
Urbicande. Une ville altière, majestueuse, conquérante. Ses lignes d’une pureté sans pareille font l’admiration de tous ; peut-être sa splendeur en fait-elle la ville des villes, dans l’univers des Cités Obscures. Pourtant, l’urbatecte Eugen Robick, l’un des grands artisans de ce rayonnement architectural, est insatisfait. La Commission des Hautes Instances, véritable gouvernement d’Urbicande, lui refuse l’aménagement dans la cité d’un troisième pont qui, prétend Robick, rétablirait un équilibre urbain gravement menacé. C’est dans ce contexte de tension politique et émotionnelle qu’un étrange objet fait son apparition sur le bureau de Robick : une structure cubique évidée d’origine inconnue, faite d’un métal apparemment indestructible, et qui commence lentement à croître et proliférer… Plus de vingt ans après sa publication initiale, La Fièvre d’Urbicande n’a pas pris une ride. Un maître-album impressionnant de maîtrise, passionnant de bout en bout, et qui demeure, aujourd’hui encore, l’un des épisodesmajeurs du cycle des Cités Obscures.

Voyage à Tulum

Coups de bluff

Opium

Une gueule de bois en plomb
Premières semaines de 1957. Nestor Burma, dans une mauvaise passe après la douloureuse affaire du Pont de Tolbiac, s’est mis à boire. Beaucoup. L’une de ses cuites phénoménales, improvisée dans un bistrot de la banlieue est, lui laisse une impression détestable, et des cauchemars plein la tête : Burma se voit révolvérisé par un clown triste, tout près de chez un marchand de fuel… Las, peut-être que le rêve n’en est pas un, mais qu’il y a encore des cauchemars en réserve. Car justement, on vient de retrouver un cadavre pas loin d’un café du Troncy, en banlieue est, et une pièce à conviction sur laquelle se trouvent les empreintes… de Burma en personne ! Inspiré des personnages de Léo Malet, ce récit de Tardi était initialement paru dans la revue (À Suivre) au format des comics américains, puis avait été publié en album dans ce même format en 1990. Le voici proposé dans une nouvelle édition et une nouvelle maquette, cette fois dans un format identique aux autres albums signés Tardi / Malet. L’opportunité de redécouvrir un Burma de haut vol, que Tardi interprète dans un registre graphique « jeté », tout à l’énergie. Un régal.

Mérite maritime

Gens d'ailleurs

Surfer d'Argent
Le crabe aux pinces d'or
Martine, La surprise

A une étrange voisine
L'appel de Madame la Baronne

L'année de feu
Celui-là

La ballade de la mer salée
Hugo Pratt, le Venitien aux semelles de vent, est un mythe vivant. De ses origines cosmopolites est né le légendaire Corto Maltese, le marin maltais le plus flegmatique, rêveur et romantique.

La rivière de l'oubli
N'écoutant que son coeur, Yakari tente de secourir un ourson en mauvaise posture sur un branche. Ils tombent tous deux dans les flots d'une rivière torrentueuse. Yakari se réveille, amnésique, dans les bras d'une ourse, la mère de l'ourson. Affreusement coupable de ne pas avoir été assez vigilante, la grande ourse prend le pauvre Yakari pour son fils Rayon-de-Miel. Elle impute ce changement d'apparence à l'esprit des ours, le Gros Noir des Forêts...

Petzi chez les pingouins
Voyage dans l'insolite et dans la peur

La poursuite

L'homme de nulle part

Les 4 as et la navette spatiale

Canevas pour une théâtre de marionnette

Petzi fait la moisson
Nestor burma - une gueule de bois en plomb (3/3)
Nestor burma - une gueule de bois en plomb (2/3)
Yama, princesse d'Alampur
Citoyen liberté

Colin-Maillard

La variante du dragon

Les enfants de la forêt

La cible

Envie de chien

Petzi fermier
Le Surfer d'argent - Parabole 2/2
Le Surfer d'argent - Parabole 1/2

La Tiare d'Oribal
Alix a accepté la mission de reconduire Oribal dans son royaume occupé par les Parthes. Dans le trésor que le souverain ramène dans son pays il y a l'emblême même de sa légitimité, la tiare d'Oribal 1er. Seuls les souverains qui arrivent à coiffer la tiare sans défaillir sont dignes de règner. Mais lors d'une embuscade, le trésor est dérobé... et la tiare disparaît. Oribal arrivera-t-il à remonter sur le trône? Sera-t-il reconnu comme souverain légitime?

Le café de la plage

Farces et attrapes

L'étoile lointaine

Les chasseurs dans la nuit

Rêver peut-être
À la recherche de la grande aventure ! Giuseppe Bergman en avait assez de vivre entravé par sa vie morose et sans aucun sens, et a tout plaqué pour vivre l'aventure avec un grand A. Après Venise et l'Afrique, le voici cette fois en Inde, oscillant à nouveau entre songe et réalité. Toujours inspiré par ses mentors et amis Hugo Pratt et Fellini, Manara propose dans cet album un récit plus linéaire que les précédents. Tout commence lorsque la magnifique Francesca Foscari est missionnée par sa société de production cinématographique pour retrouver les membres d'une équipe de tournage, perdue corps et bien dans les replis mystiques du sous-continent. Parmi les trois hommes qui l'accompagnent se trouve bien sûr Giuseppe Bergman. Et en compagnie de Bergman et Manara, impossible que l'aventure naille pas flirter avec l'érotisme et le rêve... Une uvre unique, troublante et révolutionnaire.