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Ce premier tome est une réussite, permettant d'introduire les héros et de poser les bases de l'histoire tout en créant déjà une montée en tension qui donne envie de découvrir la suite.

Avec un dessin un peu rétro mais agréable à l'oeil et une mise en scène ffiacece, Kachou Hachimoto livre un titre prenant qui prend place dans un univers riche et interessant.

Avec Marina, il s'agit d'une histoire à suivre historique, puisque l'action se situe en 1343 à Venise. Marina est la fille du doge de Venise, mais pour des raisons de politique extérieure, il a été décidé qu'elle serait échangée contre le fils du Sultan.

Le dessinateur illumine de son trait magnifique ce récit.

Ce dernier chapitre des extraordinaires aventures de Georges et Louis ne dépare pas l'ensemble. Il prouve encore une fois grâce à quelques scènes d'anthologie aux dialogues imparables l'immense talent du maître.

Betty est une BD en noir et blanc d'une densité peu commune. Ce récit intimiste, policier et fantastique, explore avec une rare finesse, visuelle et narrative, le thème du deuil. On y suit les pérégrinations de Théodore Delrue, un policier romantique et torturé, qui survit difficilement au décès de Betty sa compagne.

Une troupe iconoclaste (un mage raté, un guerrier caractériel, une soeur acariatre et une princesse aveugle et colérique) est envoyée en pélerinage à Phael pour sauver le monde ! Une BD à l'humour plutot potache, mais les zygomatiques restent plutot figés. Là encore, la série est restée scotché au tome 1. Passez votre chemin.

Ce premier tome est une semi-déception. Si le récit est à la hauteur des attente - avec une quête initatique et cosmique, des dieux et de la Magie - le dessin, pour sa part, se montre parfois faiblard, et les couleurs frolent la correctionnelle.

Mort, désolation, secrets templiers et mythologie égyptienne forment un mélange moyennement convaincant dans une BD qui aurait mérité un meilleur traitement graphique. La série est d'ailleurs restée scotchée au tome 1.

Lecture des vacances d'une BD qui trainait par là : Finn, jeune guerrier irlandais, part à la recherche de la pierre bleue cachée dans le monde des arbres. Mais de vils seigneurs avides des pouvoirs dont serait dotée la pierre magique vont semer son chemin d'embûches.

Avec un dessin trop soigné, manquant un peu d'âme, ce premier tombe dans un conformisme décevant saupoudré d'écologie, d'une rasade de bons sentiments et d'uné écriture un peu pédante... Et Puis la séie est restée au tome 1.

Alors que les farouches membres du Mouvement pour l'Indépendance de la Région, menés d'une main de fer par l'intriguant père Quidam, ourdissent leur coup d'état, le reste de la population prépare avec allégresse les festivités de la Saint Braconne.

Ce deuxième tome propose un petit monde savoureux qui ne ménage pas les extrémistes de tous poils. regard caustique sur la politique et le nationalime, les auteurs adoptent un ton desinvolte et humouristique.

Ce premier tome médiéval est un peu trop marqué par un vieux français excessif, envahissant chaque case de sa lourdeur. Malgré des dessins honorables, cette première aventure du Ruistre reste assez banale.

Cette histoire aux traits très réalistes démarre comme une amourette de série rose et s'avance au fil des cases sur le chemin du fantastique. Le malaise s'insinue sournoisement dans la vie assez classsique de Lou, qui essaye d'être acteur. Comme dans de nombreux premiers tome, on en dit trop et pas assez.

Il lui manque un je-ne-sais-quoi dans la composition chimique qui l'éloigne des millésimes précédents. trop court, manque de punch, des seconds couteaux qui ne sont pas fouillés, une reflexion qui se mord la queue pourraient être les réponses.

Il est des succès que l'on ne s'explique pas. Tant les premiers épisodes de notre jeune Spirou étaient amusants et frais, tant ce tome 10 a un gout de réchauffé. Entre vulgarité et platitudes.

Indispensable quand on veut voir la vie en rose !