Alors que Donald Duck et ses neveux Riri, Fifi et Loulou rendent visite au génial Géo Trouvetou, ils poussent par erreur un levier sur une machine qu'a créée l'inventeur. Problème : il s’agit d’une machine à remonter le temps, et les voilà tous propulsés dans le passé ! Perdus dans des temps lointains, ils vont avoir le loisir d’explorer des époques fascinantes et de rencontrer des figures historiques majeures, mais arriveront-ils à retrouver leur siècle ? Dans ce deuxième volume, retrouvez vos héros parcourir la Grèce antique, traversant le Moyen-Âge ou encore côtoyant les hordes barbares de Mongolie !


Collectif Disney, Studio Walt Disney
Série : La Machine à remonter le tempsTome : 2/2Éditeur : Glénat BD
Scénario : Collectif Disney, Studio Walt DisneyDessin : Collectif Disney, Studio Walt Disney
Collection : Grandes sagas Disney
Genres : Aventure, Humour
Public : Tout public
Prix : 14.95€
- ZOO
3.0
Scénario
2.5
Dessin
3.0
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Le synopsis de l'album
La critique ZOO
Le deuxième tome de La Machine à remonter le temps paru chez Glénat clôt les aventures Wellsiennes de la famille Duck. Cet album aligne des récits courts sans grande originalité mais pourtant plaisants.
Toujours transportés par la machine déréglée de Géo Trouvetout, Riri, Fifi, Loulou et leur oncle Donald se retrouvent en Grèce antique, à l’époque médiévale ou encore en proie aux Tartares ! Pour finir à Donaldville dans un ultime petit récit. Les quatre récits courts qui constituent l’album sont publiés par ordre chronologique de création sans qu’un véritable lien logique entre les époques ne s’établisse.
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C’est toujours plaisant de voir Donald user de toute sa roublardise et sa ruse pour se dépêtrer de situations plus dangereuses les unes que les autres. Sa triple conscience, soit ses Jiminy Cricket de neveux, lui permet souvent de se sortir de bien mauvais pas alors que la morale reste sauve pour les jeunes lecteurs.
Le récit est classique, l’humour et l’aventure au rendez-vous, pourtant un lien narratif plus étroit et une exploitation encore plus poussée des références historiques ou culturelles auraient été les bienvenus. Heureusement, le dessin très solide et classique sert au mieux la famille Duck dans la pure tradition de ces récits. Les décors sont fouillés et variés, la narration dynamique.
Ce second tome clôt donc les aventures temporelles de nos canards de manière plaisante et classique. Il ne lui manque qu’une intrigue secondaire suivie ou bien qu’une aventure débouche avec plus de logique sur une autre, comme une chasse au trésor par exemple, pour que le récit soit plus riche et donc plus agréable à découvrir…
