Les océans sont indispensables à notre survie, et pourtant, nous transformons jour après jour leurs fonds si précieux en véritable décharge. Nos déchets, essentiellement des plastiques, tuent chaque année plus d’un million d’oiseaux et des milliers de tortues et de mammifères marins… Plus que jamais, l’avenir des océans est entre nos mains !

Où est l'étoile de mer ?

Éditeur : Kaléidoscope
Scénario : Stéphane BarrouxDessin : Stéphane Barroux
Genres : Aventure
Public : De 3 à 5 ans
Prix : 13.00€
- ZOO
3.5
Scénario
3.5
Dessin
3.5
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Le synopsis de l'album Où est l'étoile de mer ?
La critique ZOO sur l'album Où est l'étoile de mer ?
À la fois album sans texte et livre-jeu, voici un bel ouvrage pour sensibiliser les tout-petits à la protection de la vie sous-marine et des océans, si précieux pour la survie de notre planète. Ludique coloré et facile d’accès, une belle lecture en famille !
Immergés dans des eaux lumineuses, une myriade de poissons aux couleurs éclatantes repère une pile d’objets étranges. Au fil des pages, le tas grandit, jusqu’à devenir un amas de déchets jetés à la mer par les Hommes. Celui-ci prend tant de place que les habitants des lieux se retrouvent à l’étroit et voient leur espace vital diminuer. Heureusement, un locataire bien plus imposant que ses congénères va tenter de régler le problème...

Simple mais bien rythmé et efficace, le scénario limpide permet de d’exposer et de simplifier la situation pour les jeunes lecteurs. La chute inattendue et drôle rend justice à cette faune menacée par les humains. Livre-jeu, Où est l’étoile de mer ? présente trois personnages à retrouver dans les bancs de poissons au fil des pages, favorisant l’interactivité et l’appropriation de l’histoire par le jeune lectorat. À la manière d’un conte très visuel, cet album est une jolie initiation à la préservation naturelle et à l’écologie.
Au-delà d’une explosion de couleurs très agréable à observer, l’expressivité des petits personnages donne vie à l’histoire. L’ensemble donne une palette esthétique, rythmée et accrocheuse. Plus les traces humaines se multiplient, plus l’image s’obscurcit. La transformation est claire, et illustre bien la cause défendue par l’auteur.
