Dargaud

Les Survivants
Sept ans plus tôt, le " Constantin Tsiolkowsky " transportait 3000 jeunes gens envoyés par la Terre pour coloniser Bételgeuse, mais il y a eu une catastrophe. Kim et son équipe (le lieutenant Hudson et deux rescapés du Tsolkowsky) ont été envoyés sur Bételgeuse pour tenter de retrouver des survivants.
En effet, ils en trouvent. Parmi eux, un certain Tazio Menegaz et le colonel Logan, qui leur fournissent une explication : à leur arrivée, le groupe de préparation du débarquement, composé de 55 personnes, a visité la planète, et tout s'est bien passé jusqu'à l'apparition des Iums - de jolies bestioles apparemment très intelligentes. Et c'est là que les avis ont divergé : d'après eux, les Iums étaient simplement des animaux intelligents. Pour les autres (dont Leilah Nakad, commandant du vaisseau), ils étaient dotés d'une intelligence comparable à l'intelligence humaine. Ce qui, d'après la charte de l'ONU sur la conquête spatiale, les obligeait à annuler le projet de colonisation de Bételgeuse. Par ailleurs, Logan accuse Leilah d'avoir créé le virus provoquant la mise hors service du Tsiolkowsky et la mort d'environ 3000 personnes.
Kim sait que son opinion pèsera dans la balance quand il faudra rendre des comptes à l'ONU. Elle sait aussi qu'elle déteste Tazio, son colonel et leur manière de voir les choses. (Ils ont instauré uns système de survie draconien : les femmes sont chargées de la reproduction au rythme d'un bébé par an, tandis que les hommes s'occupent des tâches " nobles ".) Mais ça ne suffit pas. Elle a besoin de mieux connaître ces fameux Iums. Et elle décide d'aller à leur rencontre.
Aventures captivantes, amours et amitiés, décors superbes, faune extrêmement originale pour cette série mi SF mi fantastique que Léo bâtit avec un sens remarquable du suspense. Nous aussi, nous attendons avec impatience de savoir si les Iums sont ou non " quelqu'un ". Le destin de Bételgeuse en dépend.
Vive les vacances
Son petit chapeau, son gros ventre et sa canne sont connus de tous : Achille Talon, l'archétype parfait du français moyen, hante les pages de PILOTE depuis 1963. Greg, son créateur, lui façonne un petit monde à sa mesure : un pavillon coquet en banlieue résidentielle, un voisin agaçant (Lefuneste), une fiancée snobe (Virgule de Guillemets), un père amateur de bière et aussi une brave maman qui lui bichonne de bons petits plats. Achille possède un coeur gros comme ça, un cerveau choc (...), une profonde estime pour sa propre personne et une aptitude à la parole impressionnante : son verbiage est emphasé à souhait. Jusqu'en 1976, Achille Talon est le héros de gags qui tiennent en une ou deux planches; il partage son temps entre son pavillon et la rédaction du journal POLITE pour lequel il est censé travailler en qualité de "héros". À partir de 1977 les aventures d'Achille Talon change de rythme : de longues histoires ponctuées de nombreux rebondissements remplacent peu à peu les planches à gags. C'est aussi à ce moment que l'éphémère journal d'Achille Talon est lancé.
Greg excelle à caricaturer des personnages célèbres de la BD (Goscinny, Charlier etc.). Son trait est rond, efficace et direct.

Couleurs spectrales
Mai 2009. Hannak Osternik travaille pour le très sélect Courrier Européen. Comment cette jeune et distinguée journaliste se retrouve-t-elle, affolée, dans les toilettes d'un aéroport sénégalais, tentant désespérément de détruire une disquette informatique tandis qu'à l'extérieur, le top des commandos locaux s'explique avec une cohorte de monstres belliqueux ? Jacob Kandahar possède une mémoire totale. Il est capable de jouer et de remporter 30 parties d'échecs en simultanées, les yeux bandés. Comment cet homme, réputé pour être le plus intelligent du monde peut-il se retrouver en haut d'une colline boisée à admirer le château de Versailles en pleine construction à la fin du XVIe siècle ? John O'Brien, physique à la Tarass Boulba, n'a pas son pareil pour se libérer d'une dizaine de mètres de chaînes cadenassées qui le retiennent dans une malle reposant par trente mètres de fond. Le tout en moins de sept minutes chrono. Comment réagira-t-il en découvrant, au fond de la mer une merveilleuse cité et un être venu d'ailleurs lui tendant la main ? C'est à une rencontre du 3e type époustouflante que nous convie Couleurs Spectrales, premier épisode d'ApocalypseMania. Cette fois, ce ne sont pas des vaisseaux majestueux qui descendent du ciel, mais quatre rayons lumineux. Que cachent-ils ? Qu'annoncent-ils ? Quel destin attend les humains qui osent pénétrer dans leur lumière ? Laurent-Frédéric Bollée, scénariste et journaliste sportif, Philippe Aymond, dessinateur de la série 4x4 imaginée par Christin, montrent qu'ils savent parfaitement mener une aventure le pied au plancher et la tête dans les étoiles.

Couleurs spectrales
Mai 2009. Hannak Osternik travaille pour le très sélect Courrier Européen. Comment cette jeune et distinguée journaliste se retrouve-t-elle, affolée, dans les toilettes d'un aéroport sénégalais, tentant désespérément de détruire une disquette informatique tandis qu'à l'extérieur, le top des commandos locaux s'explique avec une cohorte de monstres belliqueux ? Jacob Kandahar possède une mémoire totale. Il est capable de jouer et de remporter 30 parties d'échecs en simultanées, les yeux bandés. Comment cet homme, réputé pour être le plus intelligent du monde peut-il se retrouver en haut d'une colline boisée à admirer le château de Versailles en pleine construction à la fin du XVIe siècle ? John O'Brien, physique à la Tarass Boulba, n'a pas son pareil pour se libérer d'une dizaine de mètres de chaînes cadenassées qui le retiennent dans une malle reposant par trente mètres de fond. Le tout en moins de sept minutes chrono. Comment réagira-t-il en découvrant, au fond de la mer une merveilleuse cité et un être venu d'ailleurs lui tendant la main ? C'est à une rencontre du 3e type époustouflante que nous convie Couleurs Spectrales, premier épisode d'ApocalypseMania. Cette fois, ce ne sont pas des vaisseaux majestueux qui descendent du ciel, mais quatre rayons lumineux. Que cachent-ils ? Qu'annoncent-ils ? Quel destin attend les humains qui osent pénétrer dans leur lumière ? Laurent-Frédéric Bollée, scénariste et journaliste sportif, Philippe Aymond, dessinateur de la série 4x4 imaginée par Christin, montrent qu'ils savent parfaitement mener une aventure le pied au plancher et la tête dans les étoiles.

Le retour
Bon, on résume le tome 1 vite fait. Gildas et Martina savent désormais qu'ils ne sont pas deux gamins vivant une vie de gamins dans une quelconque banlieue. Non, Gildas et Martina sont les clones de l'équipage d'un vaisseau terrien qui s'est bêtement craché sur la planète Mawis. Les Mawissiens, pas beaux mais bonne pâte, les ont reconstitués bébés à partir de l'ADN des victimes. Et leur ont construit une ville identique à celle des souvenirs pêchés dans ce qui restait de leurs cerveaux. Ville qu'ils ont peuplée de robots imitant les Terriens. Aujourd'hui, Gildas et Martina sont au courant de tout. Ce qui n'arrange pas leur vie quotidienne. Quand on voit votre petite soeur vous engueuler parce que le repas va refroidir alors qu'elle se nourrit en fait d'un bidon d'huile, on frôle le malaise, hein ! D'un autre côté, la situation a ses avantages. A la sortie de l'école, il suffit de crier qu'on ne veut pas rentrer à pied pour voir débouler un véhicule spatial. Même si on habite à 300 mètres ! Alors, bien sûr, on a la tête qui gonfle, on sort des horreurs à sa mère sous prétexte qu'elle n'est qu'une machine. Avant de s'apercevoir qu'une machine aussi, ça peut avoir de la peine. La vie est compliquée quand on a onze ans, même à huit (petites) années-lumière de la Terre. Tout va changer quand un vaisseau meskimek, bourré de vampires de l'espace comme chacun sait, s'annonce en finale. Face au danger, Il n'y aura alors plus de Terriens, plus de Mawissiens, plus de robots, mais seulement des braves gens et des salauds. Le tri ne sera pas facile à faire... Pour garder son bonheur de lecteur, Larcenet a fonctionné comme pour le tome 1, recevant le matin par fax le scénario de la planche qu'il réalisait dans la journée. Ainsi, lui aussi, a été surpris par la fin mitonnée par Trondheim le magicien. Au fait vous connaissez Larcenet ? Non ? Alors cherchez une casquette sur laquelle est inscrit THRASH. Il est juste dessous.

Battu en neige!
On le sait, Eugène Lacrymo et ses collègues sont des adeptes de la farce de frappe et pour maîtriser les foules leur meilleure arme reste le rire. Achdé et Raoul Cauvin nous administrent l'éclatante preuve (par neuf) dans ce nouvel album. Les enfants ne s'y sont pas trompés et ont nominé la série pour Alph'art jeunesse d'Angoulême.

Premiers pas
Un bon flic doit être détendu, sûr de lui, un brin dominateur. L'inspecteur Moroni croque calmant sur calmant, se demande s'il ne serait pas prudent de poser un quatrième verrou sur la porte de sa chambre, et tremble à l'idée d'une visite prochaine de sa maman. Un bon flic se doit d'affronter le danger avec courage et détermination. L'inspecteur Moroni ne se rend au stand de tir de la police qu'un gilet pare-balles bien serré sur son torse étroit. Un bon flic doit pouvoir enfoncer une porte d'un bon coup d'épaule. L'inspecteur Moroni est, à la rigueur, capable de se défoncer l'épaule d'un bon coup de porte. Un bon flic doit se méfier de ses premières impressions, ne s'appuyer que sur les faits. L'inspecteur Moroni ne comprend rien à rien. Non, c'est injuste, je reprends. L'inspecteur Moroni pige tout de travers. Dès sa première mission, cette catastrophe ambulante transformera son co-équipier -un costaud ayant trente ans de métier, fils !- en cette chose tremblotante reposant sur un lit d'hôpital et dont les battements de coeur menacent à tout moment de faire exploser son monitoring cardiaque !. Bref, l'inspecteur Moroni est remarquablement bien parti pour occuper dans la littérature policière une place identique à celle que tient Rantanplan dans l'Ouest sauvage. Le lecteur, lui, se bidonne devant les " exploits " de cette grande brigue coincée. Les premiers pas de l'inspecteur Moroni sont également les premiers pas étincelants, dans la collection Poisson-Pilote de Dargaud, du Canadien Guy Delisle, auteur de trois remarquables albums à L'Association.

Premiers pas
Un bon flic doit être détendu, sûr de lui, un brin dominateur. L'inspecteur Moroni croque calmant sur calmant, se demande s'il ne serait pas prudent de poser un quatrième verrou sur la porte de sa chambre, et tremble à l'idée d'une visite prochaine de sa maman. Un bon flic se doit d'affronter le danger avec courage et détermination. L'inspecteur Moroni ne se rend au stand de tir de la police qu'un gilet pare-balles bien serré sur son torse étroit. Un bon flic doit pouvoir enfoncer une porte d'un bon coup d'épaule. L'inspecteur Moroni est, à la rigueur, capable de se défoncer l'épaule d'un bon coup de porte. Un bon flic doit se méfier de ses premières impressions, ne s'appuyer que sur les faits. L'inspecteur Moroni ne comprend rien à rien. Non, c'est injuste, je reprends. L'inspecteur Moroni pige tout de travers. Dès sa première mission, cette catastrophe ambulante transformera son co-équipier -un costaud ayant trente ans de métier, fils !- en cette chose tremblotante reposant sur un lit d'hôpital et dont les battements de coeur menacent à tout moment de faire exploser son monitoring cardiaque !. Bref, l'inspecteur Moroni est remarquablement bien parti pour occuper dans la littérature policière une place identique à celle que tient Rantanplan dans l'Ouest sauvage. Le lecteur, lui, se bidonne devant les " exploits " de cette grande brigue coincée. Les premiers pas de l'inspecteur Moroni sont également les premiers pas étincelants, dans la collection Poisson-Pilote de Dargaud, du Canadien Guy Delisle, auteur de trois remarquables albums à L'Association.

Remember Pearl Harbor
Décembre 1941. Pearl Harbor précipite les Etats-Unis dans la Seconde Guerre mondiale. Joe est l'un de ces jeunes GI's remontés à bloc qui pensent écrabouiller les Japonais en trois semaines. En fait, seul survivant de sa patrouille, il va se terrer durant des mois dans un atoll perdu, avant d'être récupéré avec un certain John Fitzgerald Kennedy échoué à proximité.
Dottie, sa fiancée, aussi blonde qu'innocente se morfond en attendant ses lettres. Elle est hébergée par son amie Talullah - aussi brune que cynique - qui lui trouve un job au Yoyo's Club. Mais voilà que les filles de la boîte sont embauchées comme modèles des Pin-up porte-bonheur dessinées par Milton sur les carlingues des bombardiers. Avec un traitement de faveur pour Dottie : elle sera Poison Ivy, héroïne pulpeuse et patriotique de la BD que l'Armée a commandée Milton Caniff, géant de la BD qui, effectivement se servait de modèles et faisait des tournées surt le Front avec ses créatures.
Joe, ayant retrouvé les joies de l'Armée, découvre Poison ivy et, comme tous ses petits camarades, en tombe amoureux. ne pouvant deviner que Poison Ivy et Dottie ne font qu'une, il envoie à Dottie, devenue trop fade à son goût, une très macabre lettre de rupture.

Le début de la faim
Voilà un grand jour, pour Jon : il va changer l'ampoule du frigo. Il faut dire que, dans l'ensemble, sa vie est toujours aussi vide. Pourtant, il est équipé : il a un répondeur, un e-mail, un portable et un biper, pour pouvoir être joint en toute circonstance. L'ennui, c'est que personne ne cherche à la joindre. Et toutes les filles avec qui il aimerait sortir sont prises samedi, et le samedi suivant, et le suivant, et le suivant, etc. Ou alors elles tombent malades en même temps. Pas de bol. Jon a tout de même des satisfactions. En tant que maître de maison, c'est lui qui donne des ordres à Garfield. Et en tant que chat de la maison, Garfield se permet de les ignorer. Comme ça, les vaches sont bien gardées. Garfield vit parfois des choses bizarres : il a l'air en forme, alors qu'il est de très mauvais poil. Ça lui complique la vie. Odie, lui, pète la forme sans aucune nuance. Le problème, c'est qu'il n'y a pas de bouton pour l'éteindre. Toujours aussi sportif, Garfield préfère le papier peint à fleurs aux expéditions dans la nature. Et la pâtée en boîte à la souris vivante, qui a une paix royale chez lui. Elle est sympa, d'ailleurs. Elle vient lui proposer de lui couper sa viande, puisqu'il atteint l'âge canonique de vingt ans. Et combien de kilos ? On ne sait pas, mais sa balance hurle " faîtes évacuer l'appareil " quand il monte dessus. Ça demanderait peut être un petit régime, mais c'est trop tard : Garfield vient de commander dix mille pizzas au Père Noël.

Les Petits oiseaux sont sortis
Charles Shultz avait l'habitude de dire que chaque minute de chaque jour, en conduisant sa voiture jusqu'au moment de se coucher, il pensait au gag ou au jeu de mots pour le dessin du lendemain. Ce perfectionnisme au cordeau se retrouve dans chacun de ces strips, et fait notre bonheur à la lecture de cet album inédit. Bonheur teinté de mélancolie au souvenir de ce génie disparu il y a un an.

La favorite
A quoi sert un harem ? Au plaisir d'un souverain bien sûr. Mais bien naïf celui qui le limite à cet unique but. Car il est dit : " Satisfait un homme et tu obtiendras de lui tous les trésors de la terre. " Y compris ceux de la guerre. Voilà pourquoi le harem du sultan Murati, surnommé le sultan noir, est pour lui une arme plus puissante que bien des armées dont disposent ces Anglais, ces Allemands qui se disputent ses faveurs et son alliance.
Fleur entre les fleurs, arme entre les armes, Jade, sa nouvelle favorite, est chargée par le maître d'Istambul de mener à bien l'assaut d'un diplomate anglais à travers son talon d'Achille. Sa femme... Car Jade n'a peur de rien et semble cacher un coeur de pierre sous sa douce poitrine. L'homme de confiance du sultan ne l'a-t-il pas vu ordonner le meurtre de sang-froid de la petite fille de Djoua, favorite déchue de Murati ?
Que se passa-t-il réellement en cette année 1912 ? On dit que Jade, battue par ses propres armes, trahit le sultan et disparut avec celui qui devait être sa proie. 50 ans plus tard, sa petite fille, Kim Nelson, tente de retrouver sa trace dans un Istambul où les harems ont disparu. Mais pas les bordels. Elle le découvrira à ses dépens. D'autant que la légende murmure que Jade, seule, savait où fut caché le trésor du sultan que nul jamais ne retrouva. Et l'odeur de ce tas d'or excite au plus haut point quelques grands prédateurs locaux...

Le maître est Talon
Cet album indispensable rassemble la fine fleur des gags, encore inédits en album et dessinés par Greg, du sérieux Achille. Ces pépites sont agrémentées des commentaires avisées de Benoît Mouchard. Textes qui traiteront aussi bien de la genèse de Papa et Maman Talon que des éditions d'Achille à travers le monde. In-Dis-Pen-Sa-Ble vous dis-je !
Fort navajo
Blueberry est affecté à Fort Navajo. En cours de chemin il rencontre le Lieutenant Graig et ils tombent sur le ranch des Stanton complètement calcinée et jonchée des cadavres de ses habitants. Tout porte à croire qu'il s'agit d'un coup des indiens et le Lieutenant Graig décide de suivre leur piste pour délivrer le fils Stanton qui est entre leurs mains. Blueberry va devoir manoeuvrer entre l'inconscience de Graig et la haine des Indiens qui anime le commandant Bascom, bras droit du Colonel Dickson à Fort Navajo. Quand un rattle-snake entre dans la partie, tout se complique... Le lieutenant Blueberry plus jeune que jamais ! Trente ans après leur création, voici ses premières aventures avec de nouvelles couleurs. Jean Giraud, trouvant que ses albums avaient besoin d'une cure de jouvence, souhaitait concrétiser ce projet depuis longtemps. Claudine Blanc-Dumont s'est attelée à la tâche sous l'oeil vigilant du maître. Des albums destinés aux inconditionnels de Fort Navajo mais aussi à toute une nouvelle génération qui découvrira cette série de Jean-Michel Charlier et Jean Giraud, qui fait désormais partie des grands classiques du genre. Toute la collection des Blueberry parus chez Dargaud bénéficiera petit à petit de cette renaissance.

Général tête jaune
En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C'est en 1963 qu'est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s'affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s'estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n'hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions. Le scénario utilise tous les poncifs du Western américain avec tout ce qu'il faut de rebondissements et de personnages pittoresques (Mc Clure, Angel Face, Red Nick, Chihuahua Pearl etc. sans compter les Indiens qui sont réhabilités par les auteurs, point de vue adopté d'ailleurs dans Cartland). Parallèlement au cycle classique de la saga de Blueberry, Giraud dessine entre 68 et 70 la jeunesse du futur lieutenant. Cette "série" reprend son cours en 85 sous le crayon de Colin Wilson, très respectueux du style imposé par Giraud. Les albums ont successivement été édités par Dargaud (22 titres, l'essentiel du fond) puis par Fleurus/Hachette, puis par Novédi et enfin par Alpen pour la nouveauté dessinée par Vance. Dargaud a entrepris la réédition des albums Blueberry remaquettés et agrémentés de nouvelles couleurs.

Sur ordre de Washington
Dernier édifice à la légende Blueberry, Marshal Blueberry a permis à William Vance de renouer avec le western qu'il affectionne tant.

L'espion venu du ciel
La réédition des aventures de Tanguy et Laverdure continue.

Grimmy, T.11
Le pire chien de la galaxie revient, toujours aussi sale, teigneux, et cynique. Son but : rendre chèvre les chats Sumo et Attila, et échanger sa maîtresse contre Kim Bassinger. Comment peut-on ne pas l'aimer ?

Dixie Road, T.4
La famille Jones est coincée à Silver Creek. Menacé par une intoxication alimentaire meurtrière, rationné et assiégé par les milices patronales prêtes à donner l'assaut, le camp est sur le point d'imploser. Tout comme la famille de Dixie...La violence éclate et les passions s'éxacerbent dans ce magnifique album qui clôt le premier cycle de Dixie Road.

Fines conserves Déblok façon boute-en-train
Saviez-vous que Truffo était la nouvelle vedette des spots Tayo tayo, la pâtée qu'il vous faut ? Que la pratique du roller pousse parfois à certaines extrémités ? Et que l'on peut amener son éléphant à l'école si l'on demande gentiment ? Reprenez donc un 6ème tome des Déblok. C'est la Présidente qui régale.

Vacances de printemps
Où l'on retrouve Lapinot en héros romantique dans le cadre riant et quelque peu empesé de l'Angleterre victorienne. Venu se reposer dans le cottage familial, Lapinot vit ses derniers instants de quiétude avant d'embrasser la carrière d'artiste peintre - sa vocation scientifique ayant été contrecarrée par sa mère qui considérait qu'avec un mari banquier, elle avait déjà assez de types barbants à la maison. Mais voilà qu'au détour d'une rivière, il tombe sur Miss Nadia, le grand amour de ses cinq ans, et plonge aussitôt dans les affres de la passion - ou, comme dit son fidèle serviteur Alex qui manie fort bien la métophore : " Monsieur est un jeune ruisseau qui dévale sa première pente raide. Ca secoue et ça clapote, voilà tout ". Mais ses ennemis d'enfance, Mac Terry et Richardson, clapotent également pour Nadia. Et tous trois se lancent dans une parade de séduction parfaitement ridicule. Pour la première fois, Trondheim a demandé à un scénariste de faire vivre son Lapinot. Frank Le Gall nous a taillé sur mesure, dans un langage châtié et un humour irrésistible, une aventure qui sent bon le Darjeeling et laisse une large place aux états d'âme alambiqués de Lapinot. En fait, avec son petit côté légèrement décalé et éternellement paumé - si bien traduit dans ses moindres nuances par une délicate gymnastique d'oreilles -, Lapinot le Rabbit était le héros romantique parfait, et on ne le savait pas.

La route de pointe-Noire
Yann Calec a repris du galon dans la marine marchande : le voilà second d'un commandant despotique. Ce dernier meurt dans des circonstances mystérieuses au large des côtes africaines. Qui est l'assassin...? Ce titre entame le second cycle du fantastique thriller maritime qui comprendra deux albums.

La Mission
Shelton a rendez-vous à Paris, avec le président d'une puissante multinationale. Celui-ci projette de signer le contrat du siècle avec une république de l'ex-URSS qui possède le plus riche gisement d'un métal très rare et très convoité. Mais voici que l'opération est compromise. Un routier français y a accidentellement causé la mort d'un ministre et la sévérité de sa condamnation a contraint la France à riposter par embargo...
Shelton n'a que quelques semaines pour libérer le prisonnier et provoquer ainsi la levée des sanctions économiques qui bloquent les négociations. Une mission à hauts risques ! la prison est l'une des plus sûre et les frontières sont fermées. Mais Shelton a de bons amis aussi risque-tout que lui. Quatre ont déjà sévi dans cette région tourmentée et les spécialités de chacun d'eux lui seront très utiles pour réussir ce coup audacieux...

L' Oeil de vitre
Pour finir les vacances en beauté, Soupetard part camper avec ses copains Grandgaillard, Millemouches, Mistouf et Chunelfivout. A eux cinq (plus le lapin Cerfeuil), ils forment la patrouille des Ecureuils, managée par Madame J'ordonne, une bonne femme assez revêche comme son nom l'indique. Pour commencer, il pleut des cordes et elle les envoie chasser le dahu comme l'exige la coutume. Le plus marrant, c'est que Chunelfivout rapporte un dahu ! Vu de plus près, c'est en réalité un chat empaillé, raide comme la justice, avec un seul oeil (de vitre) - ce qui est au moins aussi étrange qu'un dahu... Madame J'ordonne exige qu'on rende la chose à son propriétaire, un certain Blandin qui exerce le métier de taxidermiste. Mais là, tout se complique : l'homme a tout du faux-jeton, des gitans rôdent dans le coin avec un toutou "féroce" baptisé Paillasson, et les bestioles empaillées - outre qu'elles plongent Soupetard dans des cauchemars terribles - sont apparemment utilisées pour un odieux trafic. L'adorable Soupetard et ses copains vous débrouillent toute cette embrouille mine de rien, à grand renfort de naïveté, d'humour, de grosses trouilles et de raisonnements farfelus. Et encore une fois, Corbeyran et Berlion restituent ce parfum d'enfance vraie, marrante et aventureuse, qui ne cesse de nous ravir.

La Pourpre et l'Or
Mai 54, Rome, midi.
Il fait une chaleur torride sur l'arène et les quelques gladiateurs survivants qui essaient encore de s'entretuer n'amusent plus personne, sauf l'empereur Claude, affalé dans les gradins déserts, avide d'entendre le dernier râle du dernier combattant.
En dehors de l'arène, la vie est aussi féroce. Tout le monde veut le pouvoir, tout le monde est prêt à tuer pour l'obtenir. Agrippine, par exemple, seconde femme de Claude et mère de Néron, est en train de faire fabriquer un poison pour son cher époux : maintenant qu'il a reconnu son fils, il peut disparaître et lui laisser le trône. D'ailleurs, il faut faire vite : Claude parle de la répudier et d'épouser la femme qu'il aime, Lolia Paulina, mère de Lucius Murena.
Evidemment, dans le colimateur d'Agrippine, la pauvre Lolia n'a aucune chance. Quant à Claude, il mourra empoisonné et son fils Britannicus sera écarté du pouvoir au profit de Néron. Voilà l'histoire de Rome telle qu'on nous la raconte dans les manuels scolaires, à ceci près qu'elle prend ici un relief surprenant : sanglante et crapuleuse, elle n'est que superstitions, trahisons, terreur et violence.

Mon Oeuvre à moi - tome 7
Ce tome 7 reprend : Achille Talon et le grain de la folie, Viva papa ! et Ma vie à moi. Outre ces 3 titres, vous trouverez en introduction, des textes et dessins publiés dans Pilote et ailleurs.
L'aigle solitaire
En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C'est en 1963 qu'est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s'affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s'estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n'hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions. Le scénario utilise tous les poncifs du Western américain avec tout ce qu'il faut de rebondissements et de personnages pittoresques (Mc Clure, Angel Face, Red Nick, Chihuahua Pearl etc. sans compter les Indiens qui sont réhabilités par les auteurs, point de vue adopté d'ailleurs dans Cartland). Parallèlement au cycle classique de la saga de Blueberry, Giraud dessine entre 68 et 70 la jeunesse du futur lieutenant. Cette "série" reprend son cours en 85 sous le crayon de Colin Wilson, très respectueux du style imposé par Giraud. Les albums ont successivement été édités par Dargaud (22 titres, l'essentiel du fond) puis par Fleurus/Hachette, puis par Novédi et enfin par Alpen pour la nouveauté dessinée par Vance. Dargaud a entrepris la réédition des albums Blueberry remaquettés et agrémentés de nouvelles couleurs.

'Faut rigoler !
Boule est un petit garçon facétieux qui vit entre sa mère (exemplaire), son père ("bricoleur" et gaffeur) et Bill (gentil cocker). Cette bande typiquement familiale a débuté dans les pages de SPIROU en 1959. Si Boule apparaît dans tous les gags, Bill lui ravit rapidement la vedette. Ce chien farfelu apprécie bien sûr les os, les jolies chiennes, sa copine la tortue, ses amis les oiseaux et son jeune maître (Boule).De son trait rond, et jovial, l'auteur décrit par une suite de gags les aventures quotidiennes de cette famille particulièrement sympathique qui vit dans une maison où il fait bon vivre. L'environnement de cette famille est tout de suite identifiable : un pavillon coquet, un jardin et une voiture (la fameuse 2CV rouge) ! Gros succès de l'édition, cette série avoisine les 1000 gags et dépasse les 7 millions d'exemplaires vendus. Roba a quitté les éditions Dupuis pour Dargaud en 1987 : les 21 premiers titres sont donc édités chez Dupuis.

Comment faire de la Bédé sans passer pour un Pied-nickelé
Jean-Marc Thévenet et Florence Cestac nous proposent une savoureuse galerie de portraits qui mettent en boîte et croquent à tout-va tous ceux qui font ou rêve de faire, un jour, ce métier étrange "d'auteur de bédé". L'album, en couleur, reprend et prolonge les histoires parues chez Futuropolis et aujourd'hui introuvables.

Quand demain sera hier ...

Triple Jeu
Rythme trépidant, coups de théatre, imbroglios et jeux de masque : cette histoire d'espionnage et de faux semblants mise en scène par Fabrice Parme et Lewis Trondheim dans la Venise du XVIè siècle évoque aussi bien le vaudeville que la commedia del arte ou les meilleurs films de Blake Edward.

Les Amériques
XVIIIe siècle. Isaac Sofer, peintre désargenté mais heureux en amour, vit de petits boulots et rêve d'aventure. Lorsqu'on lui propose d'embarquer sur un navire, Isaac accepte sans savoir qu'il fera le tour du monde ! Blain - Alph-Art à Angoulême 2000 - s'impose ici comme un auteur majeur grâce à cette petite merveille d'humour et d'aventure qui sera en deux volumes.

Ribambelle (La), T.1
L'autre chef d'oeuvre de Roba, le créateur de "Boule et Bill". La Ribambelle, c'est une bande de gamins prénommés Phil, Grenadine, Dizzie, Archibald, Atchi et Atcha. Un seul adulte, James, le majordome stylé, y est admis de temps à autre. Ensemble, ils affrontent les affreux "Caïmans", dirigés par l'ignoble Tatane, à l'âme assortie à son blouson noir, mais aussi d'autres ennemis qui ne leur veulent pas vraiment de bien Ce tome 2, précédé d'une préface évoquant l'univers de ces personnages comprend les épisodes suivants : - La Ribambelle enquête - La Ribambelle engage du monde - La Ribambelle contre-attaque - La Ribambelle au bassin - La Ribambelle aux Galopingos

Meilleur des années 70 de Lauzier
Le meilleur de Lauzier, ou comment décrypter les années 70 à grands coups de vitriol. En 1974, Lauzier attaque ses " Tranches de vie " dans Pilote. Il nous décortique les seventies en direct, sur le tas, avec la plus grande liberté, soutenue par une implacable justesse de tir. Tout y passe, la psychanalyse et la dépression à la portée de tous. L'orgasme démocratique et obligatoire. Les joies ineffables de l'amour authentiquement prolétarien en Chine populaire (un chef-d'oeuvre). Le cadre moyen qui se croit supérieur. Les féministes radicales, emberlificotées dans un cas de viol trop alambiqué pour être honnête. Les militants qui, à l'abri des libertés bourgeoises, cautionnent le goulag. Ceux qui s'éclatent au cri primal - fonds de commerce des pays à la mode - et ceux qui retrouvent " le geste ludique primordial " chez les bouseux. Etc. Il n'a pas de victimes favorites, pas de chouchous, si ce n'est que les femmes et les enfants s'en sortent beaucoup mieux que les hommes. Depuis, bien des convictions se sont diluées dans l'air du temps et, comme le souligne Frédéric Beigbeder dans sa préface, certaines audaces aussi. " La société a régressé depuis, tant sur le plan des libertés que sur celui du droit à l'ironie ", et plus personne n'ose rigoler à ce point-là des choses sérieuses. Cela dit, le droit à l'ironie était déjà relatif à l'époque. On ne piétinait pas impunément les valeurs sacrées de 68. Et pour avoir montré une lucidité avant-gardiste, Lauzier s'est taillé, chez les vétérans des tranchées du Quartier latin, une réputation d'odieux personnage. On l'a détesté et on l'a aimé - selon l'élasticité de chacun dans le domaine de l'autodérision. Goscinny l'aimait : " Lauzier se fait haïr et se fait admirer [.] et je tremble à l'idée de tous ceux qui vont me haïr quand ils sauront à quel point je l'admire. " Vingt-cinq ans après, sa force reste intacte. Outre un dessin incisif, Lauzier montre un sens infaillible du dialogue et restitue avec une exactitude tordante les jargons en vigueur dans chaque corporation. Les jeunes générations liront utilement cette compilation. Lauzier y épingle comme personne (sauf Bretécher, dans un autre registre) une époque ahurissante, où la bêtise était péremptoire et où chacun nageait avec délice dans ses pro-pres contradictions. Lui, il ne marche pas au trucage. Et il est politiquement très incorrect. C'est ce qui rend sa lecture si jouissive.

Fines conserves Déblok façon boute-en-train
Saviez-vous que Truffo était la nouvelle vedette des spots Tayo tayo, la pâtée qu'il vous faut ? Que la pratique du roller pousse parfois à certaines extrémités ? Et que l'on peut amener son éléphant à l'école si l'on demande gentiment ? Reprenez donc un 6ème tome des Déblok. C'est la Présidente qui régale.

Dites trente-wouah !
La conscience professionnelle, y a que ça de vrai. Le public ne s'y trompe jamais. Voyez Noël Jeanjean, Nono pour les intimes, Doc Véto pour les autres. Il lui a suffi d'un seul album pour que tous les amis des bêtes lui apportent qui son gorille aphone, qui son castor contestataire, qui son caméléon à la langue (trop) bien pendue, qui son taureau écorné, qui son bison bizarre. Bref tout un bestiaire dont il faut guérir les bobos. Sans oublier que Nono doit impérativement faire monter l'attention, accélérer le pouls et dilater la rate du lecteur. Mission réussie ! Même si Mirabelle, la stagiaire, a tendance à grimper aux rideaux (pauvres rideaux) devant une dionaea muscipula (charmante plante carnivore dont les feuilles sont composées de deux lobes bordés chacun de 15 à 20 longues dents pointues) ou le moindre protéroglyphe (cobra ou serpent corail, c'est vous qui voyez). La même Mirabelle dont les formes épanouies ont immédiatement tapé dans l'oeil, et même les deux yeux, de Goliath, le gentil gorille qui en bondit de joie malgré ses deux quintaux bien pesés. Mais le monde, même animal, ne serait que ce qu'il est sans une dose de poésie, une pincée d'humour noir et une grosse louche de loufoquerie. Côté poésie, vous sourirez au récit de la nuit de garde d'un vieux militaire chargé de veiller sur les bêtes en pension chez Nono. Côté humour noir, vous grincerez des dents en cherchant une solution aux amours d'un pêcheur et d'une belle sirène. Côté loufoquerie, vous vous dilaterez les boyaux en découvrant le résultat coupable des amours de Sidonie la biquette avec un cadre de vélo (de course, of course). En selle !

Attends, tu vas rire !

La réplique inattendue
Bwouf Allo Bill ?
Boule est un petit garçon facétieux qui vit entre sa mère (exemplaire), son père (publiciste "bricoleur" et gaffeur) et Bill (gentil cocker). Cette bande typiquement familiale a débuté dans les pages de Spirou en 1959. Si Boule apparaît dans tous les gags, Bill lui ravit rapidement la vedette. Ce chien farfelu apprécie bien sûr les os, les jolies chiennes, sa copine la tortue, ses amis les oiseaux et son jeune maître (Boule).De son trait rond, et jovial, l'auteur décrit par une suite de gags les aventures quotidiennes de cette famille particulièrement sympathique qui vit dans une maison où il fait bon vivre. L'environnement de cette famille est tout de suite identifiable : un pavillon coquet, un jardin et une voiture (la fameuse 2CV rouge) !

Bwouf Allo Bill ?
Boule est un petit garçon facétieux qui vit entre sa mère (exemplaire), son père (publiciste "bricoleur" et gaffeur) et Bill (gentil cocker). Cette bande typiquement familiale a débuté dans les pages de Spirou en 1959. Si Boule apparaît dans tous les gags, Bill lui ravit rapidement la vedette. Ce chien farfelu apprécie bien sûr les os, les jolies chiennes, sa copine la tortue, ses amis les oiseaux et son jeune maître (Boule).De son trait rond, et jovial, l'auteur décrit par une suite de gags les aventures quotidiennes de cette famille particulièrement sympathique qui vit dans une maison où il fait bon vivre. L'environnement de cette famille est tout de suite identifiable : un pavillon coquet, un jardin et une voiture (la fameuse 2CV rouge) !
Fines conserves Déblok façon boute-en-train
Murena - Folio
The favorite

Achille talon tient la forme (et hop!)

faut rigoler
Le rire c'est la santé

Le sarcophage
Sous la forme d'un luxueux outil promotionnel, un livre exceptionnel, qui voit la réunion d'un de tandems les plus fameux de la bande dessinée, qui nous tend le plus implacable des miroirs. Le pire du plaisir est que, nous y reconnaissant, nous n'ayons d'autre ressource, que d'éclater de rire. Peut-on rire à tchernobyl ?
Secret defense
Le héros culte de la BD est de retour dans une aventure toujours plus angoissante. Est-il vraiment Kelly Brian, ce terroriste de l'IRA, que traque la CIA ? vance et Van Hamme ont encore réalisé un chef-d'oeuvre, une chasse à l'homme meurtrière qui réécrit l'histoire la plus sombre d'un XXème siècle finissant.

L'homme mort
Le grand Nord canadien au début du siècle. Perdu dans une tempête de neige, Philipp Trent, sergent de la Royale, se réfugie dans une cabane de trappeur. Réveillé par un coup de feu au milieu de la nuit, il sauve de justesse le conducteur d'un traîneau encerclé par les loups. Ce "conducteur" est une très jolie jeune fille partie à la recherche d'un truand de bas étage qui a tué un épicier pour quelques dollars. Il semble malheureusement que ce truand et le demi-frère perdu soient un seul et même homme. Pourtant, comment cette crapule, qui a maintenant quatre meurtres à son actif, peut-elle être le demi-frère d'une si adorable jeune femme ?

Fredissimo, le meilleur de Fred (ou presque), l'album du millénaire
Fred, en six mots : poétique, drôle, cruel, onirique, brillant. C'est pour rendre hommage à ce Grand de la BD que Dargaud a décidé d'éditer cette compilation de morceaux choisis, extraits de titres depuis longtemps introuvables tels que "Hum", "Magic Palace Hôtel" ou encore "Ca va, ça vient"... Fred, en un mot : Fredissiomo !
