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Carlisle - T1

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 6 critiques Presse

2.5

Le 27/6/2017

Choisir de montrer la perversité et les dérives d’un système éducatif via l’un des ses acteurs - fils de pasteur de surcroît - est une manière d’objectiver le propos et d’éviter de tomber dans le mythe du bon sauvage, cher à Rousseau.

3.5

Le 27/6/2017

Eduquer ces sauvages d’Indiens pour les intégrer à la civilisation américaine ? Il suffisait d’y penser, mais l’idée n’est pas nouvelle : c’est nature / culture.

2.5

Le 27/6/2017

A la fin du XIXème siècle, les derniers Indiens ne représentent plus de menace pour les Américains et sont rassemblés dans des réserves, véritables mouroirs. Afin d’offrir une alternative à cet anéantissement, Richard Pratt propose une assimilation par l’éducation. Une entreprise dont les méthodes et les résultats contestables seront découverts par Jonas, jeune enseignant idéaliste. Avec lui, le lecteur perd peu à peu ses illusions en découvrant la réalité de l’école Carlisle.

3.0

Le 27/6/2017

Dans la petite ville de Carlisle en Pennsylvanie, un ancien militaire dirige une école destinée à inculquer une culture occidentale aux indiens d'Amérique. Récit d'un épisode peu connu de l'histoire américaine du siècle dernier.

4.0

Le 27/6/2017

Tasunka Witko, la première partie de ce diptyque, est une excellente surprise, une très belle histoire dont j’attends déjà la suite avec impatience.

3.0

Le 23/1/2018

Carlisle est un institut d'assimilation des jeunes indiens. Jonas rejoint l'institution en 1908 mais il va se heurter au directeur Pratt qui n'a qu'une devise : "Tuer le sauvage pour sauver l'homme"... Le lecteur va donc suivre Jonas dans sa première approche de l'école, puis dans ses tentatives d'infléchir la politique éducative de Pratt. Le scénario est prenant, avec quelques personnages principaux, pas trop nombreux pour ne pas perdre le lecteur. Chacun des protagonistes est assez aprofondi sans pour autant faire passer les uns ou les autres pour des monstres. Chacun est [...]

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