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Je ne t'ai jamais aimé

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 3 critiques Presse

4.0

Le 12/10/2017

Près de vingt ans après sa première parution, Je ne t’ai jamais aimé conserve tout son pouvoir d’évocation. Chester Brown y décortique avec une légèreté et une très grande précision cette étrange période s’étalant de la fin de l’âge de l'innocence aux débuts des troubles de l’adolescence. Sous un aspect apparemment très simple, l’auteur de Louis Riel réussit à montrer brillamment le tourment émotionnel dans lequel il a baigné durant sa jeunesse. Le passage de la bulle protectrice de l’enfance au chaos de la vie adulte n’est pas des plus aisés. La famille, les amis [...]

5.0

Le 25/10/2017

Un jeune homme sentimental et pudique

Dans son adolescence, Chester était un jeune homme disert. Il n’aime pas prononcer de gros mots, n’aime pas parler de sentiments. Il vit dans son univers à lui. Sa seule voie d’extériorisation réside dans le dessin. Pourtant Chester ne manque pas de copains ni même de copines. Nombreuses sont les filles à avoir un petit faible pour lui, à aimer le taquiner. Mais Chester demeure confiné dans un état d’esprit entre absence et confusion des sentiments. Et quand il lâche « je t’aime » à la pulpeuse Sky, il ignore lui-même s’il s’adressait à la jeune fille ou à son image fantasmée. [...]

1.5

Le 25/10/2017

Chester est un adolescent poli et plutôt populaire auprès de la gent féminine. Oui mais voilà, Chester est aussi timide et maladroit, incapable d'exprimer clairement ses sentiments, car il semble lui-même en ignorer leur véritable nature...

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