
Tranche-Trognes - T1 : Artisan bourreau
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 4 critiques Presse
3.0
Le 27/6/2017
L'habit ne fait pas le bourreau
Durant le Moyen Âge, Tranche-Trognes s'installe dans la cité où il a été nommé bourreau. Malheureusement pour lui, de par son costume rouge, il est immédiatement tourné en ridicule. Son premier travail est de brûler une sorcière : la jeune et belle Abigaëlle. Au lieu de la faire passer de vie à trépas, il brûle d'amour pour elle. Si ses gags sont souvent drôles et utilisent volontiers l'ironie, plus que par ceux-ci, cette bande dessinée jeunesse séduit par l'univers décalé qu'elle met en place et par les situations qui en découlent. Les histoires courtes réunies ici [...]
4.0
Le 27/6/2017
10 petites histoires mettant en scène un bourreau particulièrement maladroit. Pas demain la veille, en tous cas, que les têtes risquent de tomber ! Une lecture familiale drôle et rythmée.
3.0
Le 23/1/2018
Cette BD humoristique a été publiée d’abord dans le magazine mensuel pour les 8-12 ans « Moi je lis » sous forme d’histoires courtes. Elles sont aujourd’hui regroupées dans cet opus pour le plus grand plaisir des petits et des grands. En effet, les aventures de ce bourreau malchanceux ont plusieurs de niveaux de lecture possibles et pourront donc plaire à un large public familial. Le dessin est lui aussi original, simple et amusant, pour dépeindre en quelques traits l’univers d’un bourreau imaginaire du moyen âge et de sa sorcière bien aimée. En quelques [...]

3.0
Le 27/6/2017
Àcertains moments de l'Histoire, les bourreaux ne connaissaient pas le chômage. Le métier se transmettant de père en fils, la famille Tranche-trognes exerce cette noble profession depuis des générations. Aujourd'hui, un petit homme tout de rouge vêtu est l'héritier de cette longue lignée d'exécuteurs. Il arrive dans une nouvelle ville et compte installer son commerce derechef. Pourtant, les choses peinent à démarrer : intrigués par son accoutrement et par les premières lettres de l'enseigne qu'il s'efforce de peindre, les habitants du quartier le prennent pour un bouffon. [...]