Prophet - T3 : Pater Tenebrarum
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 3 critiques Presse
4.0
Le 27/6/2017
Rattrapé par son passé.
Jack Stanton, jeune explorateur ambitieux et futile, ancien voyou, nouveau prophète, a déchaîné la fin du monde par sa découverte d'un site cyclopéen impie. Il a ouvert un seuil qui n'aurait jamais dû l'être et lâché sur le monde ceux qui ne devaient plus jamais fouler la terre. Pour une raison inexpliquée, avant même d'avoir pu percevoir les conséquences de ses actes, il s'est trouvé projeté 30 ans dans le futur dans un monde en ruine, rongé par la chaos et devenu la demeure de démons de toutes sortes. Dans un New-York de cauchemar il est recueilli par les derniers [...]
4.0
Le 12/10/2017
En apprenant son rôle dans l’apocalypse qui a dévasté la planète, le héros a perdu de son cynisme, qui soulageait jusqu'à présent l’horreur de cette aventure épouvantable. En admettant sa responsabilité, Jack Stanton devient à présent le « prophet » du titre, à un double niveau : il est d’emblée l’oracle de la destruction de l’humanité et espère maintenant incarner celui du renouveau. Ainsi, dans ce Pater tenebrarum (traduction latine du « père des ténèbres »), Mathieu Laufray poursuit seul l’idée de départ partagée avec Xavier Dorison (créateur du Troisième testament). [...]
Haut de page
3.0
Le 27/6/2017
Prophet 3. Pater Tenebrarum
Je suis Jack Stanton. L'homme qui a détruit le monde. Jack était un brillant chercheur à l'université du Miskatonic. Trop "brillant" peut-être... Sur les pas de son mentor, Alexander Kandel, il mis à jour un sanctuaire aux dimensions cyclopéennes, bâti à plus de 5000 mètres d'altitude et vieux de 8000 ans, époque à laquelle l'Homme apprenait tout juste à se tenir debout. Les retombées scientifiques, historiques, théologiques même, sont alors considérables et Jack ne saisit très vite l'intérêt médiatique de cette découverte. Il est cependant loin de se douter qu'au-delà [...]