
Pacush Blues - T13 : Treizième porte : Correspondance avec les corps obscures
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 2 critiques Presse
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0.5
Le 27/6/2017
Un rat vieillit dans la décharge, et ses pensées s'envolent dans une reflexion tout azimut sur le sens de la vie, façon Ptiluc. Carrément indigeste.
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3.5
Le 27/6/2017
Pacush Blues 13. Treizième porte : Correspondance avec les corps obscurs
Ça débute sur un monologue dépressif, tortueux et verbeux, irrationnel pour autrui, qui trace son chemin vers les sommets qui précèdent la chute. L’ectoplasme qui va s’extraire de cette destinée écrasée va s’enticher d’un jeune à dreadlocks et l’hanter jusqu’à apparaître dans les volutes de fumées d’herbe qui rend nigaud. De cette relation émerge une succession de divagations sur la vie et la mort. Comme de coutume dans cette série, sur un fond assez abstrait, Ptiluc aborde de manière savamment désorganisée la comédie humaine. Afin de la présenter sous son meilleur [...]