
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 6 critiques Presse
5.0
Le 27/6/2017
200 pages que l'on dévore avidement, partagé entre l'humour noir de l'auteur et la description de la misère humaine.
4.0
Le 27/6/2017
Puiser dans son patrimoine familial douloureux pour construire un récit d’une telle intensité participe à la constitution d’une oeuvre magistrale incontournable.
5.0
Le 27/6/2017
Jacques Tardi : "Mon père, ce vaincu"
Un livre de guerre "à la Tardi" où l'Histoire est regardée par le petit bout de la lorgnette et racontée à travers le prisme du quotidien, voire d'une certaine trivialité.
3.5
Le 27/6/2017
Jacques Tardi, son père et sa guerre
L’album, où on apprendra à la fois pourquoi Tardi est prénommé Jacques et comment les Polonais valent mieux que certains libraires, n’est que le premier volume de la biographie de son père resté prisonnier de ces années-là après qu’elles se furent écoulées.
5.0
Le 23/1/2018
Le passé d’un prisonnier de guerre raconté par son propre fils : Jacques Tardi ! Un témoignage sublime et prenant, un devoir de Mémoire fort et unique.
5.0
Le 27/6/2017
Jacques Tardi a pris un parti : il ne sera pas simple spectateur, au contraire, il entrera de plain-pied dans le récit. Il est ce gamin qu'on découvre dès la première case, portant béret, culottes courtes et galoches d'époque, qui accompagne le héros paternel, d'abord sur les champs de bataille d'après la bataille, jonchés d'épaves de chars et de cadavres, puis au Stalag, dans ce camp immense et sinistre, à proximité de la Baltique. Dans son habituelle approche graphique d'un expressionnisme documentaire minutieux, il installe, avec un magistral sens du récit, une réalité pas si souvent décrit

Commentaire et critiques (1)
Un bel album sans concession. Même si pour moi Tardi c'est avant tout Malet et Manchette en bd, là je reste sans voix.J'ai beaucoup aimé la relation père fils décrite par Tardi et la méfiance entre prisonniers, les tensions sont bien rendues
Le 16/01/2015 à 16h54
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