
Les Carnets de Cerise - T4 : La Déesse sans visage
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 6 critiques Presse
5.0
Le 27/6/2017
À 12 ans, Cerise est maintenant presque adolescente. Sa mère veut apaiser leur relation en réservant, pour elles deux, une semaine de vacances dans un manoir au bord de la mer. Et pas n’importe quel manoir : c’est le Manoir aux cent mystères ! Cerise devra en résoudre un seul, mais fort complexe, qui l’amènera à mieux comprendre le monde des adultes qui l’entourent.
4.0
Le 27/6/2017
Les attachants Carnets de Cerise s’écrivent toujours entre carnets intimes et bande dessinée. Ce nouvel opus se lit avec plaisir même s’il semble légèrement plus artificiel que les précédents...
4.0
Le 27/6/2017
Cerise reçoit un cadeau d’anniversaire original : un séjour dans un manoir pour participer à un jeu sous forme d’énigmes à résoudre. Une aventure policière originale et passionnante, une nouvelle page de qualité aux Carnets de Cerise.
5.0
Le 27/6/2017
Pour ses 12 ans, Cerise se voit offrir un séjour dans un manoir agrémenté pour le mystère, et dont chaque visiteur se voit confier une énigme à résoudre. Une occasion idéale pour cette enfant curieuse de tous les secrets d’autrui. Mais l’énigme qui lui revient va déborder bien au-delà du manoir et ses jeux pour se perdre dans la réalité… Une fois encore, dans ce tome 4 opère la magie des Carnets de Cerise, dont les planches BD sont çà et là ponctuées de pages de carnets intimes illustrés. Avec ce talent qu’ont les auteurs de combiner très finement le grave et la légèreté.
5.0
Le 27/6/2017
Quatre tomes, et pas une ride ! Joris Chamblain et Aurélie Neyret continuent le jeux avec la jeune Cerise (12 ans maintenant !). Alternant planches de BD classique et pages de carnets dessinés enfantins, cette Déesse sans visage est une nouvelle énigme à résoudre entre mère et fille !

3.5
Le 27/6/2017
Et ce quatrième tome alors ? Si tous les ingrédients sont là, si la gamine est toujours aussi attachante, si l’histoire parvient à maintenir le suspense - presque - jusqu’à la dernière page, le tout accompagné par le dessin tout en rondeurs d’Aurélie Neyret, il manque cette petite touche d’envie et d’impatience qui suivait jusqu’à présent la fermeture des précédents opus. Point de déception cependant, mais une attente désormais plus fébrile à la veille de la conclusion que chacun espère éclatante, brillante et lumineuse.