
La Licorne - T1 : Le dernier temple d'Asclépios
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 4 critiques Presse
4.0
Le 27/6/2017
Obscure chirurgie
Pas évident d’être chirurgien du roi en ce bon vieux XVIème siècle, surtout lorsqu’on est un tant soit peu avant-gardiste et qu’on se retrouve avec toute l’université de médecine à dos ! Heureusement que le sage mais robuste Ambroise Paré ne s’en laisse pas compter... Mais le voilà impliqué dans une sombre et nébuleuse (!) histoire de meurtres fantastiques, et contraint bien malgré lui de rallier la confrérie des Asclépiades, aux théories quelque peu datées… Cette rude épreuve entraîne notre docte chirurgien aux frontières de sa raison et de ses convictions : et si [...]
4.0
Le 23/1/2018
En enquêtant sur des meurtres de médecins, l'anatomiste Ambroise Paré découvre l'existence de créatures fabuleuses qui remettent en cause sa science. Un thriller ésotérique déconcertant mais parfaitement maîtrisé !
4.5
Le 23/1/2018
Quelle série fantastique (à tous les sens du terme d'ailleurs)!! Les pièces du puzzle sont enfin imbriqués avec le 4e album qui finit sur un clin d'oeil qui ramène nos sages médecins de la Renaissance dans l'Histoire officielle et qui nous offre une origine pour un grand mythe de l'imaginaire (Dracula). Dessin et scénario s'unissent parfaitement pour aboutir à une grande BD.

3.5
Le 27/6/2017
Licorne (La) 1. Le Dernier Temple d'Asclépios
Durant la seconde moitié du XVIe siècle, plusieurs anatomistes réputés meurent dans d'étranges conditions. Ambroise Paré, chirurgien du roi, prend connaissance de l'un de ces cas et commence à enquêter sur les circonstances de cette mort. En cherchant à comprendre, il va découvrir des choses qui dépassent l'entendement et pourraient bouleverser l'Histoire... La lecture des deux premiers tiers de l'album est on ne peut plus fastidieuse. Le lecteur est propulsé au coeur d'une espèce de chasse à l'homme dont il ne sait quasiment rien et assiste alors à une succession [...]