
L'Orfèvre - T5 : Les larmes de la concubine
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 2 critiques Presse
3.0
Le 27/6/2017
Simulacre diplomatique
Suite et fin de l’enquête qui, après avoir débuté en France, conduit l’Orfèvre au Cambodge. Là, lors d’une réception, il abat la maîtresse du prince Jayavarman qui menaçait ce dernier d’un revolver. L’Orfèvre se doit alors de quitter le pays, ce qui fait les affaires des différentes personnalités - notamment politiques - impliquées dans un vaste trafic de sculptures et d’opium. Dans la droite lignée du précédent, cet album en conserve l’élégance tout en accentuant un peu le versant exotique de l’aventure. Warnauts et Raives n’hésitent pas à développer une certaine ironie [...]

2.5
Le 27/6/2017
Orfèvre (L') 5. Les larmes de la courtisane
Années 30. Un trafic d'opium et de trésors archéologiques s'est mis en place entre la France et le Cambodge. Alors que le prince du Cambodge est justement à Paris à l'occasion d'une exposition consacrée à l'art Khmer, les autorités françaises chargent Charles-Albert Lafleur, dit "l'Orfèvre", de mener son enquête. Les larmes de la concubine conclut ce diptyque cambodgien de l'Orfèvre. Dans la lignée des tomes précédents, Warnauts et Raives nous servent une trame policière classique, intéressante pour sa représentation fidèle du climat politique et social des années 30. [...]