
L'Epervier - T9 : Coulez la Méduse !
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 4 critiques Presse
4.0
Le 27/6/2017
Coulez la Méduse est le neuvième tome de L’Épervier, la série maritime à succès de Patrice Pellerin. Elle relate les aventures d’un corsaire intrépide pendant le règne de Louis XV. Caractérisée par la grande attention apportée aux détails et à l’authenticité historique, cette bande dessinée continue à s’imposer comme une référence du genre.
4.0
Le 27/6/2017
Poursuivi par des anglais, l’Epervier achemine une missive royale au gouverneur de Québec. A son bord, des fâcheux. En métropole, des complots. Et Agnès victime d’une terrible situation. Aventures et espionnage, toujours de grande qualité !
4.5
Le 27/6/2017
Vogue le navire !
Patrice Pellerin nous offre un nouvel épisode de L’épervier dans la grande tradition de la BD d’aventure maritime. Cet auteur d’exception se fait conteur et historien pour notre plus grand plaisir. Encadré de personnages haut-en-couleurs, Yann de Kermeur poursuit sa trajectoire d’aventurier au grand coeur, droit dans ses bottes. Ca serait bête de passer à coté…
4.5
Le 29/9/2018
L’Épervier T9, le Canada ou mourir
Patrice Pellerin a envoyé son Épervier au Canada. Mais la belle Agnès est entre les griffes du marquis de Beaucourt. Elle aime Yann de Kermeur mais ce dernier a d’autres préoccupations. Un voyage dangereux et des escales mouvementées, un dessin qui est toujours aussi séduisant, sensuel et agréablement réaliste, ce nouvel épisode est particulièrement réussi.

Commentaires et critiques (2)
Certes, ce nouveau tome ne déroge aucunement à la qualité de cette série depuis son lancement : Patrice Pellerin est un auteur très talentueux. Mais, vu son rythme de parution, (un album tous les trois ans), fallait-il se lancer dans une telle saga feuilletonesque qui laisse son lecteur dans une si longue attente pour connaître la fin de l'histoire ? N'aurait-il pas été plus judicieux pour Patrice Pellerin de se cantonner dans un format one-shot ? D'autant plus que son éditeur, Guy Delcourt, n'a pas souhaité que cet album dépasse le cadre du 46 planches standard ! Si l'on a toujours plaisir à relire les tomes antérieurs avant d'aborder la lecture du "petit dernier", sachant que l'auteur envisage encore deux ou trois tomes pour boucler son histoire, le mot "fin" n'est pas pour si tôt !
Le 20/01/2016 à 19h44
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