Habemus Bastard - T2 : Un coeur sous une soutane
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 2 critiques Presse
3.5
Le 31/10/2024
Ton légèrement décalé, personnages soulignés à gros traits, dialogues bien sentis et intrigue légère, la table posée dans L’Être nécessaire , le premier tome d’Habemus Bastard, annonçait un final haut en couleurs. Un cœur dans la soutane ne déçoit pas. Un petit twist redistribuant à peine les comment et les pourquoi et hop, c’est parti pour une série de confrontations sentant plus la poudre que l’encens. Série noire, humour et amoralité. Jacky Schwartzmann et Sylvain Vallée s’en sont tenus à leur programme initial et [...]
5.0
Le 4/10/2024
Deuxième et dernier tome du diptyque Habemus Bastard, par Sylvain Vallée et Jacky Schwartzmann. Ou comment un bandit notoire cache son existence à l’aide d’une simple soutane. C’est la conclusion brillante d’une série explosive.
Haut de pageCommentaires et critiques (3)
4.0
Après un premier tome sympathique mais un brin convenu, Habemus Bastard revient avec une conclusion qui, sans totalement bouleverser les codes du genre, parvient à élever le niveau. Là où le premier opus peinait à surprendre, ce second tome accroche davantage grâce à une intrigue plus rythmée et des enjeux qui se resserrent efficacement autour du père Lucien et de sa couverture fragile.
Le scénario de Jacky Schwartzmann prend enfin des risques et sort des sentiers trop balisés, offrant une tension mieux maîtrisée et quelques rebondissements appréciables. Le dessin de Sylvain Vallée, toujours impeccable, s’épanouit pleinement dans cette ambiance explosive et contribue largement à donner du souffle à l’histoire.
Sans révolutionner le genre, ce deuxième tome laisse une meilleure impression, avec une énergie et une intensité qui faisaient défaut à son prédécesseur. Une conclusion qui saura séduire les amateurs de récits noirs et décalés, même si elle ne prétend pas être inoubliable.
Le 29/11/2024 à 15h31
0
0
0