ZOO

Corto Maltese - T13 : Sous le soleil de minuit

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 4 critiques Presse

3.0

Le 27/6/2017

Porteur d'une missive de Jack London pour une chère amie perdue de vue, Corto se retrouve à arpenter la toundra entre Alaska et Yukon pour dénicher la destinataire. Sur son chemin, il va croiser une multitude d'hommes et de femmes au moins aussi égarés qu

5.0

Le 27/6/2017

Il fallait oser, Juan Díaz Canales et Rubén Pellejero l’ont fait : redonner vie à la fantastique série de bandes dessinées d’Hugo Pratt, le légendaire, le cultissime Corto Maltese. Disons-le d’entrée, ils n’ont en rien échoué, ils ont même plutôt réussi. L’héritage a été bien assimilé, et les efforts sont si présents qu’ils sont la seule faiblesse de l’album. Une volonté de trop en faire, bien compréhensible, qui alourdit de références à quasiment chacun des douze tomes précédents, voilà le défaut de Sous le soleil de minuit . Oser tuer Raspoutine dès la seconde page [...]

4.0

Le 27/6/2017

20 après, le marin flegmatique revient, et il n’a pas pris une ride. Le voilà en Amérique du Nord, parti délivrer une lettre de son ami l’écrivain Jack London à un amour de jeunesse. Aventures et rêveries, le cocktail magique est de retour !

3.5

Le 23/1/2018

J’ai ouvert avec curiosité (teintée de nostalgie) cette nouvelle aventure de Corto. Elle se place chronologiquement juste après la « Ballade de la mer salée » en 1915, en pleine première guerre mondiale. Après une si longue absence, et en changeant les auteurs, reprendre cette série dont le personnage et l’auteur sont de tels monuments, pour poursuivre l’aventure était une gageure, que les auteurs ont très bien relevé à mon sens. Tant au dessin qu’au scénario, on retrouve l’esprit rêveur, poète, libertaire et aventurier de Corto. Le graphisme et les [...]

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants

Commentaire et critiques (1)

note de la critique de L'historien

4.0

Cette aventure se déroule dans le Grand Nord canadien, entre l’Alaska et le Yukon, en 1915, soit un peu après la période de La Ballade de la mer salée. L’album est un intermède entre deux séjours en Amérique centrale. La ballade est plaisante, truffée de (trop ?) références aux anciens albums. Album hommage ou vraies nouvelles aventures ?

Le 27/10/2015 à 11h08