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Les derniers jours de Robert Johnson

couverture de l'album Les derniers jours de Robert Johnson

Éditeur : Sarbacane

Scénario : Frantz DuchazeauDessin : Frantz Duchazeau

Collection : Fantastique

Prix : 29.90€

Le synopsis de l'album Les derniers jours de Robert Johnson

Années 1930, un homme, la vingtaine, mi vagabond, mi dandy, sillonne les routes poussiéreuses du Mississippi avec pour seuls bagages une guitare acoustique et une bouteille de Bourbon. Malgré son jeune âge, il semble porter sur ses épaules tout le poids du monde, traînant derrière lui comme un boulet de forçat un passé déjà trop douloureux : l’abandon d’un père, une enfance passée dans les champs de coton sous la surveillance d’un beau-père violent, puis la mort en couches de l’amour de sa vie … Qui peut douter qu’il s’agit de Robert Johnson, l’auteur de « Sweet Home Alabama », et que, de ses souffrances, il tire un blues à nul autre pareil ? Disséminant sa musique encore méconnue de ville en ville, dans un Sud raciste, Johnson a rendez-vous avec sa gloire en une date et un lieu : la scène du Carnegie Hall, à New York, où des producteurs qui croient en son talent l’attendent impatiemment. Mais son attirance pour l’autodestruction est à la hauteur de son talent : immense. Arrivera-t-il à destination ?


Détails de l'album Les derniers jours de Robert Johnson

Général

Type :

Bande dessinée

Éditeur :

Sarbacane

Collection :

Fantastique

Album

Nom de l'album :

Les derniers jours de Robert Johnson

Numéro de tome :

Genres :

Thèmes :

Cycle :

Auteurs

Scénario :

Dessin :

Frantz Duchazeau

Couleurs :

Traduction :

Édition

Format :

24.0 x 28.0 cm

Nombre de pages :

240

EAN :

9782377318353

Informations sur l'édition :

Détails de l'édition :

Date de parution :

Date de dépôt légal :

Janvier 2024

Prix public :

29.90 €

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Commentaire et critiques (1)

note de la critique de François Samson

4.0

Un album d’ambiances. Dessin charbonneux mais fin de de Duchazeau. Parfait dans ses représentations des chemins de campagne. Belles ambiances du Sud des USA. Une narration décousue. C’est volontaire, mais sauf si on connait bien la vie de Robert Johnson, cela n’aide pas à la compréhension. Histoire attachante malgré tout.

Le 08/05/2024 à 17h50