
Les pieds-noirs à la mer
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 7 critiques Presse
4.0
Le 27/6/2017
La trame complexe de cette fable révèle véritablement le travail de Fred Neidhardt que l’on avait vite catalogué comme un aimable plaisantin. Il se révèle un narrateur doué et un dessinateur très juste.
4.0
Le 27/6/2017
Les Pieds-noirs à la mer est un album exemplaire, qui grâce à un ton féroce d'absurdité, expose les plus sombres méandres de l'âme humaine, quelque soit la couleur de sa peau. À lire absolument.
3.0
Le 27/6/2017
Tout un tourbillon confus de sentiments contradictoires, qui pourrit les relations familiales jusqu’à un point de non-retour.
4.0
Le 27/6/2017
Le racisme ordinaire
Fred Neidhardt prend ici un ton plus sérieux pour évoquer le drame vécu par les pieds-noirs, tout en allégeant intelligemment son propos en distribuant généreusement les saillies verbales qui ont fait sa réputation.
5.0
Le 27/6/2017
Daniel fait un petit séjour à Marseille chez ses grands-parents et découvre le passé d’une famille traumatisée par la guerre d’Algérie. Un récit très réaliste et plein de finesse, contre le racisme et la haine.
4.0
Le 27/6/2017
Au fil d'une chronique truffée de pépites de réel d'époque, excellemment dialoguée à l'oreille, Neidhardt dégage, au-delà des préjugés, indéfendables, la vérité crue et touchante de petits blancs en porte-à-faux avec l'Histoire.
5.0
Le 3/5/2018
Les Pieds-Noirs à la mer, chronique d’un drame annoncé
Fred Neidhardt est comme le dit Joann Sfar dans la préface un auteur « qui pousse dans ses limites les plus poétiques et parfois les plus cruelles l’art de pincer sans rire ». Avec Les Pieds-Noirs à la mer (Marabulles), Neidhardt se plonge dans les tourments et les certitudes d’une famille de rapatriés au début des années quatre-vingt.

Commentaire et critiques (1)
4.0
20 ans après l'indépendance de l'Algérie, nous suivons la vie de Daniel, qui a raté son bac et claque la porte de la maison. Il descend à Marseille retrouver ses grands-parents Pieds Noirs. Mais là, nous sommes plongés dans le racisme "ordinaire" du quotidien. Rien n'est blanc, rien n'est noir, c'est que l'on découvre ici. Le banal du quotidien d'une autre époque (?!?) où l'on voit des syndicalistes, CGT bien trempés, accueillir les réfugiés par des pancartes restées célèbres : "Les Pieds Noirs à la mer" !
Le 12/12/2013 à 21h54
0

0