Quand Iruma annonce vouloir mieux comprendre les démons, la bague gloutonne, avec sa bienveillance mal-placée habituelle, lui lance un sort qui fait ressortir ses mauvais penchants, simulant chez lui l'effet du cycle du mal qui affecte périodiquement les habitants de l'Enfer. Cet Iruma "diabolique" rallie bien vite la classe anormale autour d'un objectif ambitieux : s'emparer de la "salle royale", relique du roi-démon disparu.


Studio Charon, Yohan Leclerc, Osamu Nishi
Série : Iruma à l'école des démonsTome : 7/19Éditeur : Nobi Nobi !
Scénario : Osamu NishiTraducteur : Yohan Leclerc
Adaptateur : Studio Charon
Collection : Shônen
Genres : Manga, Shonen
Prix : 7.20€
- ZOO
4.0
Scénario
4.0
Dessin
4.0
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Le synopsis du manga
La critique ZOO

Vous priver de votre manga préféré peut vous rendre méchant ? Pas de panique, c’est exactement ce qui arrive dans le septième tome d’Iruma à l’école des démons ! Vous découvrirez le côté canaille de notre Iruma adoré, dans une rocambolesque avalanche de tours de passe-passe pour devenir le meilleur !
Rien ne va plus à l’académie ! Iruma a entamé son cycle du mal à cause de son démon de bague. Il mène la vie dure aux professeurs pour gagner de meilleures conditions d’accueil pour sa classe et obtenir l’accès à la salle royale. Mais pour convaincre l’intransigeant Callego, il va devoir les gagner à sa cause un par un, de gré… ou de force !
La quête éperdue pour obtenir des signatures fourmille de références implicites à Hunter x Hunter. Le recrutement d’une joyeuse bande hétéroclite pour remporter la victoire et les révélations théâtrales des machinations constituent un hommage certain. Les bagues de Jazz font d’ailleurs beaucoup penser à Kurapika. Découvrir Iruma sorti de son rôle d’éternel naïf permet de le découvrir sous un autre angle. Le dénouement final, attendrissant et émouvant, montre à quel point Iruma est apprécié de tout le personnel, y compris de Callego lui-même.

Iruma à l'école des démons Tome 7
© Nobi Nobi, éditions 2022
Comme avec la présidente du BDE dans le tome précédent, le traitement graphique d’Iruma évolue au gré de son changement de personnalité. De personnage tout en rondeurs et très cartoon, il devient plus anguleux et plus détaillé. Les plans de duels abondent, révélant souvent des détails cachés et cruciaux pour l’intrigue. Ces techniques donnent un côté plus majestueux et moins parodique à l’ensemble, apportant un vent de fraîcheur bienvenu. Chaque prétendant à la salle royale envoyé par Iruma a une fiche personnage avec son pouvoir héréditaire, ce qui renforce l’ambiance très jeu vidéo de ce tome.
On a donc un tome intéressant qui approfondit la personnalité d’Iruma tout en donnant un avantage décisif à la classe anormale.
