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La fuite du cerveau

couverture de l'album La fuite du cerveau

Éditeur : Dargaud

Scénario : Pierre-Henry GomontDessin : Pierre-Henry Gomont

Prix : 25.00€

Le synopsis de l'album La fuite du cerveau

Le 18 avril 1955, Albert Einstein passe de vie à trépas. Pour la science, c'est une perte terrible. Pour Thomas Stolz, médecin chargé de l'autopsie, c'est une chance inouïe. Il subtilise le cerveau du savant afin de l'étudier. S'il perce ses mystères, il connaîtra la gloire... Le problème, c'est que le corps d'Einstein le suit ! Privé de cerveau, Albert continue à bouger, à marcher, à parler. La perspective de comprendre le fonctionnement de ses neurones l'excite au plus haut point. " Formidable ! On va faire ça ensemble, tous les deux ! ", dit-il à Stolz. Reste à trouver un laboratoire à l'abri des regards. Ce qui n'a rien d'évident quand on a le FBI aux trousses... Après le succès de Pereira Prétend et de Malaterre, Pierre-Henry Gomont change de registre. Il nous entraîne dans un road movie échevelé et drolatique, inspiré par la véritable destinée du cerveau d'Einstein. Menée tambour battant, cette histoire rocambolesque et burlesque, servie par un dessin épris de liberté, est aussi une réflexion passionnante sur la complexité de l'âme humaine.


Détails de l'album La fuite du cerveau

Général

Type :

Bande dessinée

Éditeur :

Dargaud

Collection :

Album

Nom de l'album :

La fuite du cerveau

Numéro de tome :

Genres :

Thèmes :

Cycle :

Auteurs

Scénario :

Dessin :

Pierre-Henry Gomont

Couleurs :

Traduction :

Édition

Format :

22,8 cm x 39,8 cm x 2,3 cm. 1.102 Kg

Nombre de pages :

192

EAN :

9782505083603

Informations sur l'édition :

Édition originale

Détails de l'édition :

Date de parution :

Date de dépôt légal :

Septembre 2020

Prix public :

25.00 €

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Commentaire et critiques (1)

note de la critique de CharlyPMD77

5.0

Dans je stylé déjanté qu’on lui connaît, PHG nous raconte l’histoire du vol du cerveau d’Einstein. Mêlant comédie et polar, cette farce un peu foutraque, bien servie par le trait énergique de PHG nous tient en haleine jusqu’à une fin pleine de tendresse et de nostalgie.

Le 02/05/2025 à 09h11