
Dans mon village, on mangeait des chats
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 3 critiques Presse
3.5
Le 15/6/2020
Ne le dites à personne, dans mon village, on mangeait des chats. Et oui, bien malin celui qui aurait soupçonné le subterfuge du père Charon avec son fameux pâté de foie pour lequel les gourmets n'hésitaient pas à faire de longues distances. À la fois le boucher et le maire du village - et bien d'autres rôles encore - «La Charogne» avait l'ascendant sur les habitants, pas un pour broncher. Puis, un jour, il a disparu... Mon nom à moi, c'est Jacques ; je n'ai que quatorze ans mais, attention à celui qui me cherche, car, même si je ne ressens pas la douleur, la haine a [...]
4.0
Le 30/6/2020
Philippe Pelaez nous propose un récit dur et violent. Francis Porcel l’illustre avec talent, offrant un dessin lugubre aux traits durs à la plongée de Jacques dans les trafics en tous genres.
4.0
Le 7/7/2020
L’histoire démarre dans un petit village du Sud-Ouest dans les années 70. Jacques surprend par hasard comment Charon, le boucher, également maire du petit bled, confectionne ses fameux pâtés vendus à prix d’or et qui font tout le succès de son commerce. Le titre de l’album vend d’emblée la mèche ! Sur ce postulat (qui n’emballera sans doute pas les amis de la gente féline !), [{RED_PFN-11468}]Philippe Pelaez[{/RED_PFN-11468}] nous propose l’histoire d’un gamin qui n’a peur de rien et son irrésistible ascension dans le monde du crime.

0

0