
SRPG
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 4 critiques Presse
4.0
Le 11/10/2018
Des agents de protection encadrent la vie familiale et professionnelle d’un énarque arrogant qui doit négocier des accords pétroliers avec la Lybie. Mise en place très efficace d’un thriller immersif.
2.5
Le 11/10/2018
Cette série nous raconte l’histoire d’une équipe particulière d’un service français dédiée à la protection des personnages importants. Le scénario est nerveux, un peu complexe parfois. Le dessin est classique et correct, avec des couleurs et ambiances biens choisies. Globalement je trouve que la répartition entre vie privée et vie professionnelle déséquilibrée du côté privé. C’est bien de donner aux héros leur part d’humanité mais là on hésite entre fable sociale et récit policier. Pour la suite, je pense qu’il faudra veiller à rééquilibrer.
4.0
Le 11/10/2018
SPRG, deux flics comme boucliers
Adrien et Simon sont flics à l’anti-terrorisme. Des inséparables, deux amis mais Simon a en a ras le bol de ne plus avoir de vie de famille d’autant qu’il vient de devenir papa. Il est muté au SPRG, le service de protection des Renseignements Généraux pensant avoir le calme. Et les ennuis commencent. Pierre Dragon et Alain Gillot ont donné vie à un héros atypique, sympa et humain. Fred Lamour dessine cette équipe de choc qui a ses hauts et ses bas au service de la République.

2.0
Le 11/10/2018
Super flic ou père modèle ? Simon Munch doit choisir ! Le voilà donc confiné dans un gentil placard au Service de Protection des Renseignements Généraux où il coule des jours tranquilles. Trop ! La garde rapprochée des personnalités dites « sensibles » est un sujet qui trouve un écho de circonstance dans l’actualité politico-people. SPRG permet de s’offrir une petite immersion dans ce monde pas toujours des plus feutrés, au travers d’une série policière en devenir qui suit les figures imposées du genre : un flic, une équipe, une [...]