ZOO

Furari, au gré du vent

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 3 critiques Presse

3.0

Le 11/10/2018

« Trente-huit, trente-neuf, quarante, quarante-et-un ». Un homme marche dans Edo, comptant chacun de ses pas et notant le résultat dès qu’il a atteint un point précis. Il énumère, inlassablement, imperturbablement, ou presque. Chacune de ses promenades est l’occasion d’une rencontre, d’un échange, d’un émerveillement. Le succès grandissant, les parutions des albums de Jirô Taniguchi sont désormais souvent attendues avec impatience et une joie anticipée, l’écueil étant bien sûr que celles-ci soient déçues. Proposant de suivre les allers et venues [...]

3.0

Le 11/10/2018

Et one-shot de plus pour Jiro Taniguchi, avec Furari, récit narrant les pérégrinations d'un cartographe et géomètre dont nous ignorons le nom mais qui est très certainement Tadataka Ino, l'homme ayant établit la première carte du Japon. C'est donc sous la forme d'une quinzaine de pages que Jiro Taniguchi nous fait découvrir Edo via l'oeil avisé de cet homme qui ne peut s'empêcher de compter ses pas quand il marche. Le concept est connu, très utilisé (par Taniguchi lui-même dans L'homme qui marche ou Le promeneur), et se révèle ici efficace par moments. Si la [...]

2.5

Le 11/10/2018

Edo au XIXéme siècle se prête aux déambulations d’un quinquagénaire amoureux du monde qui l’entoure et nourrissant l’ambition de faire la cartographie de son pays. Une nouvelle promenade « taniguchienne » prétexte à observations et réflexions. Déjà vu.

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants