Un beau jour, en rentrant chez lui, Lapin entend une grosse voix s'élever de son terrier :
« C'est moi le BONDIVORE GEANT, aussi horrible que méchant ! »

Le Bondivore géant

Julia Donaldson, Helen Oxenbury
Éditeur : L'école des loisirs
Scénario : Julia DonaldsonDessin : Helen Oxenbury
Genres : Aventure
Public : De 6 Ã 8 ans
Prix : 13.00€
- ZOO
4.0
Scénario
4.0
Dessin
5.0
- Lecteurs0 critique
Le synopsis de l'album Le Bondivore géant
La critique ZOO sur l'album Le Bondivore géant
Lapin est très embêté car un bondivore géant a élu domicile dans son terrier. Chacun de ses amis se mobilise pour tenter de déloger l’indésirable mais rien n’y fait. Ce dernier ne s’amuse qu’à effrayer les plus courageux. Un album en randonnée au casting animalier pour un temps de lecture vivant à partager !
Lapin est apeuré car il veut regagner son terrier mais une grosse voix le terrorise. Un bondivore géant a investi son habitat et entend bien ne pas céder la place. Il se dit méchant et plus dangereux qu’un serpent. Quand Lapin rencontre ses amis animaux, chacun tente d’impressionner l’indésirable mais rien n’y fait. C’est le Bondivore qui impressionne ! Les animaux, pourtant tous plus gros les uns que les autres, échouent lamentablement. Mais c’était sans compter sur le courage de maman Grenouille et son caractère bien trempé...

Un conte en randonnée écrit pour les tout-petits (dès deux ans) par l’autrice du célèbre Gruffalo. Les personnages bienveillants et attachants sont liés par une solidarité qui réjouira les plus jeunes. Quel privilège d’avoir un ours ou un éléphant en ami pour nous défendre ! Mais la taille des combattants n’est pas leur seul atout ! La personnification des animaux apporte un caractère ludique plaisant à l’histoire, dans laquelle les enfants s’identifient facilement pour un moment dépaysant.
Helen Oxenbury est l’illustratrice de nombreux albums traduits en France, tels que La chasse à l’ours ou la célèbre série de Léo et Popi. Son style, très britannique, offre un trait généreusement travaillé au fusain. Des contours et hachures fourmillent dans les planches aux couleurs harmonieuses, douces et agréablement nuancées à l’aquarelle. L’ensemble aboutit à un album riche en compositions plastiques et aussi tendre que le nounours qui incarne l’ours de l’histoire.
Un style britannique rassurant et réconfortant pour un récit délassant.
