
Sans même nous dire au revoir
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 3 critiques Presse
4.5
Le 23/1/2018
Á l'image de sa couverture grise, montrant le dessin d'un quartier japonais trempé de larmes (sans doute celles du mangaka), Sans même nous dire au revoir plonge le lecteur dans une histoire triste, froide et mélancolique. C'est un récit autobiographique, une histoire dure, douloureuse, réalisée comme une sorte d’exutoire. Une façon de tourner la page, de laisser partir l'être aimé qui n'est déjà plus là. Kentarô Ueno nous raconte le moment où sa vie a basculée : la mort de sa femme. Mangaka humoristique, il laisse son genre de prédilection de côté pour se [...]
5.0
Le 25/10/2017
La vie de Kentarô et de sa fille sont complétement bouleversées lorsque sa femme décède un soir de décembre. Un témoignage autobiographique, bouleversant et fort en émotions.

3.0
Le 27/6/2017
La perte de l’être aimé. Alors que rien ne le laissait vraiment présager, l’épouse de l’auteur décède brutalement. Elle était malade, mais en aucun cas au point d’en mourir comme ça : Sans même nous dire au revoir. L’homme raconte, les dernières heures passées ensemble, les jours qui ont suivi. Très rapidement après la survenue de ce drame, la réalisation de cette bande dessinée s’est imposée à Kentarô Ueno. Il déroule les instants qui ont suivi la découverte du corps, allongé face contre terre dans le petit salon familial, la perte de la maîtrise des événements qui [...]