ZOO

La Loterie

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

3.5

Le 23/1/2018

Vermont, fin des années 40. En ce début d’été, tout le village vaque à ses occupations habituelles avec, quand même, une petite pensée pour le tirage de la loterie annuelle. Une tradition immémoriale qui rassemble tous les habitants chaque 27 juin. Qui tirera le bulletin marqué d’un rond noir ? On y pense, on se demande quelle sera sa réaction le cas échéant et puis on passe à autre chose. Il y a tant de travail à faire dans les maisons et les champs environnants. Le grand illustrateur Miles Hyman adapte La loterie, la célèbre nouvelle [...]

4.0

Le 23/1/2018

Une plongée inattendue et folle dans une Amérique profonde. Une adaptation très réussie du roman de Shirley Jackson. Difficile de vous parler de cette bande dessinée sans vous spoiler la fin. Vous serez tranquillement manipulé par l’auteur, une lente descente aux enfers dans la folie d’un village de l’Amérique profonde. Une adaptation très réussie d’une nouvelle américaine signée par Miles Hyman.

4.5

Le 27/6/2017

Chaque année a lieu, dans un petit bourg de la Nouvelle Angleterre, une loterie. Un rite immuable puisque l’un des participants en est à sa 77ème participation. Tous les villageois sont appelés à tirer un papier blanc plié en deux. Un seul d’entre eux est marqué d’un rond noir. Ticket gagnant ? Miles Hyman nous entraîne dans une intrigue qu’on ne lâchera plus avant la dernière page.

2.5

Le 23/1/2018

Fin des années 40 américaines, 300 habitants d’un village organisent une loterie, dans un climat de tension maximale. Un effet de suspens monstrueux en marge d’une subtile peinture sociale, pour une finalité hyper décevante.

4.0

Le 23/1/2018

Miles Hyman adapte en BD la nouvelle éponyme de sa grand-mère Shirley Jackson. Dès le début, à travers des pages à seulement deux cases, simples dans leur contenu mais sombre dans leur colorisation, il instille une tension que le lecteur a du mal à comprendre car elle est en total décalage avec la vision représentée, de quiétude d’une ville iconique d’Amérique. Cette séquence voit son apogée dans un simple rond noir, tracé sur un papier plié. Comme aurait pu le dire Prévert, elle est terrible cette vision du rond noir tracé sur un papier plié ; Mais à ce [...]

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