Afin de protéger les intérêts et la sécurité du monde libre, Amanda Waller dirige un programme ultra-secret de recrutement d'anciens super-vilains condamnés à perpétuité. En échange d'une remise de peine, ceux-ci accomplissent les missions les plus dangereuses, risquant à chaque fois leur vie. Deadshot, Captain Boomerang, l'Enchanteresse ou Nightshade font désormais partie de ce qu'ils ont surnommé « la Suicide Squad ». Contenu : Suicide Squad #1-16 Secret Origins #14, 28 Doom Patrol/Suicide Squad #1 Justice League International #13


Luke McDonnell, John Ostrander
Série : Les Archives de la Suicide SquadTome : 1/2Éditeur : Urban Comics
Scénario : John OstranderDessin : Luke McDonnell
Collection : DC Classiques
Genres : Comics
Public : À partir de 12 ans
Prix : 35.00€
- ZOO
4.0
Scénario
4.0
Dessin
3.5
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Le synopsis du comics
La critique ZOO
Riche, complet et indispensable, voici comment décrire ce premier tome des Archives de la Suicide Squad. Équipe de super-vilains sacrifiables, ils sont envoyés au casse-pipe par le gouvernement américain, là où celui-ci ne peut légalement pas intervenir. 30 ans après la série initiale, l’escadron n’a pas pris une ride.
Femme de tête au service du gouvernement, Amanda Waller décide de former une élite de combat secrète pour protéger les intérêts du pays. Elle fait appel aux pires criminels, prisonniers à vie, et leur promet une remise de peine en échange de leur participation à des missions suicides. Voici comment Nightshade, l’insupportable Capitaine Boomerang, Deadshot et les autres vont devenir des mercenaires dirigés par le colonel Rick Flag, un militaire torturé au passé tourmenté.

© DC Comics
La compilation chronologique des aventures de la Suicide Squad rend compte de l’atmosphère unique qui règne au sein de l’escadron. Ses membres, anti-héros et dangereux solitaires, sont contraints de se tolérer et faire équipe dans leur propre intérêt. L’action évolue dans un contexte politique houleux et les personnages secondaires porteurs du projet sont très subtilement travaillés.
Explosif et rétro, le dessin nous plonge dans cette nostalgie aux tons pêchus des années quatre-vingt. À chaque personnage appartient sa couleur caractéristique, identifiable au premier coup d’œil. Le mouvement maîtrisé donne un ensemble rythmé et agréable. Les plans larges et rapprochés équilibrés appuient le récit et lui donnent du relief.
En somme, une lecture prenante qui retrace la genèse d’une équipe improbable et haute en couleur. À ne pas rater !
