ZOO

David, les femmes et la mort (réédition avec CV cartonnée)

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 4 critiques Presse

4.0

Le 27/6/2017

David, libraire berlinois quinquagénaire, apprend coup sur coup deux nouvelles fracassantes : il vient d’être grand-père d’une petite Louise quand on lui diagnostique un cancer. Un méchant. David vit entouré de ses femmes : sa fille ainée, Miriam, reporter photographe, née d’un amour de jeunesse ; sa jeune épouse, Paula, créatrice et décoratrice ; et Tamar, leur fille, âgée de seulement huit ans quand débute le récit. Tour à tour, chacune d'elles va dérouler le fil de l'intrigue, évoquer des bribes de son histoire personnelle, détailler ses relations avec David, aborder [...]

4.0

Le 23/1/2018

David souffre d’un cancer du larynx, mais il refuse d’aborder ce sujet avec sa compagne et ses filles. Récit d’une lutte contre la maladie, vécue à travers le prisme de chaque membre de sa famille. Bouleversant !

4.0

Le 23/1/2018

Cette histoire d'un homme entouré de 3 femmes auxquelles il refuse de parler de son cancer est touchante et sonne juste. De sa femme qui va se laisser submerger par la maladie de David à sa fille ainée qui est aussi incapable de communiquer avec son père que lui avec elle en passant par la petite fille de 9 ans qui a peur de perdre son père, toutes ces femmes sont humaines et attachantes. C'est une BD qui mérite que l'on s'y attarde.

4.0

Le 27/6/2017

Aux toutes premières pages, le héros, David, apprend qu'il a un cancer avec un infime espoir de rémission. A la fin, il meurt. Tout est dit ? Non. Il manque « les femmes », deuxième terme du titre. Il est décisif. Il change tout, ou presque. David est le père de Miriam, qui vient d'accoucher d'une fille, Louise. Avec sa compagne actuelle, Paula, il a une autre fille, Tamar, 9 ans. Sur ces femmes repose le long récit d'une course à l'abîme, qui se présente d'emblée sans échappatoire, et à laquelle, pourtant, elles vont donner, chacune à sa façon, une dimension inespérée. [...]

Haut de page

Commentez et critiquez

1200 caractères restants