1 série, 8 reboots : de la science-fiction façon pulp
Lewis Trondheim et Olivier Vatine nous expliquent l’aventure Infinity 8, dans laquelle ils ont embarqué au scénario
26 janvier 2017
-Interview
Lewis Trondheim, Alfred, Walter, Joann Sfar
Série : Donjon CrépusculeTome : 110/111Éditeur : Delcourt
Scénario : Lewis Trondheim, Joann SfarDessin : AlfredColoriste : Walter
Collection : Humour de rire
Genres : Humour
Prix : 9.95€
Scénario
Dessin
Tremblement sur Terra Amata. Alors que tous les îlots s'éloignent du noyau de magma et de l'atmosphère respirable, le Roi Poussière pense qu'il est temps pour lui de mourir de façon héroïque. Marvin Rouge s'accroche toujours, bon gré, mal gré, et va devoir le sauver de cette idée fixe tout en trouvant un moyen de respirer... à suivre en parallèle dans Donjon Crépuscule 111 – La Fin du Donjon.
Terra Amata a éclaté, et globalement, c’est un sacré foutoir. Alors que l’Entité Noire pourchasse le Roi Poussière et Marvin le Rouge, elle n’en oublie pas pour autant de soumettre le plus d’îlots à sa cause démoniaque afin de lancer le monde dans une ultime guerre. Mais les dieux parlent de nouveau au Roi Poussière. Et ils ont une mission pour lui ! De quoi donner de multiples rebondissements à cet album bien rythmé.
Le Roi Poussière commence à en avoir assez de tout ce bazar et n’aspire plus qu’à vivre peinard. Mais quand les dieux vous chargent de sauver le monde et de mourir noblement, il est difficile pour un ancien guerrier de refuser. Il doit donc envoyer Herbert dans le monde des morts demander à son ancêtre comment vaincre l’Entité Noire. Pendant ce temps, Marvin le Rouge et Zakutu sont en route vers la forteresse de l’Entité pour une tentative d’anéantissement plus traditionnelle.
Les deux acolytes Sfar et Trondheim reprennent la plume pour cet avant-dernier tome apocalyptique. La boucle est bouclée et le Donjon voit ses derniers jours. Marvin le Rouge est le héros de cet album au rythme intense et à l’action permanente mais la multiplicité des personnages permet de nombreux points de vue pour un effet de suspense et de cadence effrénée. L’humour est toujours là, estampillé Donjon, une valeur sûre. Cependant dans ce nouveau monde éparpillé, on ne peut s’empêcher de regretter la légèreté des bonnes vannes de canard des tout premiers tomes.
Les dessins d’Alfred avaient déjà été testés et éprouvés sur plusieurs Donjons. Le lecteur se retrouve donc en terrain connu, certainement pas déçu. Mention spéciale à la double page 16-17 pour une impressionnante nuée destructrice de dragons et autres créatures fantastiques.
Alors, si les adeptes de Donjon sentent venir la fin, au moins c’est avec panache !
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