
Au vent mauvais
Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.
Les 5 critiques Presse
4.0
Le 27/6/2017
L'Abel et la belle
Ce qui marque, touche et impressionne d'abord ici, c'est la construction et la conduite du récit. L'écriture de Rascal est sèche, austère, mais également imagée, voire lumineuse.
4.0
Le 27/6/2017
Séduit par la voix d'une inconnue dont il vient de trouver le téléphone portable, un ex-taulard taille la route pour le lui rapporter. Un road-movie contemporain tout en voix-off : noir, émouvant, désabusé et... drôle.
3.0
Le 23/1/2018
Nous suivons Abel à sa sortie de prison, calme et serein, certain de récupérer son butin caché pour recommencer une nouvelle vie de promeneur sans contrainte. La rénovation de la zone industrielle où il l’a caché en décide autrement et la découverte d’un téléphone portable l’entraine dans une road-BD sentimentale et mélancolique entre retour vers le passé et espoir du futur. Ce voyage sera l’occasion de deux belles rencontres. L’ouvrage a le rythme de la déambulation, au pas lent de larges cases dépouillées, à peine colorées. Chaque image est une [...]
5.0
Le 30/4/2018
Au Vent Mauvais, l’espoir perdu d’Abel
Il sort de prison et tombe amoureux d’une inconnue dont il vient de trouver le téléphone qu’elle a perdue. Voila en peu de mots la trame de cette balade hors du commun. Rascal la signe et Thierry Murat la trace au fil du Vent Mauvais, titre de l’album.

3.5
Le 27/6/2017
Au vent mauvais
Attendre votre sortie de taule pour récupérer un pactole caché dans une usine désaffectée, et vous rendre compte que la magie de la réhabilitation urbaine l’a transformée en musée : celui de vos illusions perdues. Quelle poisse ! Dès lors que faire ? Partir ! Mais où, avec qui et surtout pour quoi ? Abel Mérian est une métaphore pour ceux et celles qui n’osent pas tout quitter quelle qu'en soit la raison. Les paysages qui défilent derrière la vitre d’un train, les kilomètres avalés au cours de minutes qui feront des heures, ces gens croisés et si vite oubliés, ces [...]