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L’homme qui assassinait sa vie

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 5 critiques Presse

3.5

Le 27/6/2017

Certaines couvertures peuvent induire le chaland en erreur sur le contenu d'un album, mais celle de L'homme qui assassinait sa vie n'est pas de celles-là. À sa vue, le lecteur est immédiatement plongé dans le bain (de sang). Après Baru et le non moins sanguinolent Canicule, c'est au tour d'Emmanuel Moynot de signer une adaptation d'un texte de Jean Vautrin dans une nouvelle collection consacrée aux œuvres de l'écrivain. Véritable roman noir teinté de polar social, le scénario fait penser à un grand melting pot où tous les thèmes et les manières du genre se côtoieraient [...]

4.0

Le 27/6/2017

Avec L'homme qui assassinait sa vie, Emmanuel Moynot signe une nouvelle fois un polar d'une grande noirceur. Cette dernière s'accompagne ici d'une ironie mordante qui paraît être la politesse du désespoir.

4.0

Le 27/6/2017

Un ex-taulard grignoté par la vengeance, un privé raté, un vieux commissaire et une poignée de crétins mêlent, pour le pire, leur destin entre Bordeaux et Toulouse. Une adaptation jubilatoire du roman éponyme de Jean Vautrin.

3.5

Le 23/1/2018

La guigne semble être le dénominateur commun de trois hommes, un détective privé de clients, un commissaire placardisé et un délinquant en col blanc sortant de prison. Une improbable succession de coïncidences va faire que leurs routes s’entrecroisent avec des réussites diverses. Le dessin fait penser aux Nestor Burma que Moynot a déjà illustrés et l’atmosphère poisseuse et mélancolique colle parfaitement pour cette illustration du roman de Vautrin. Des cases avec une dominante monochrome marquée, des traits un peu brouillons, des dialogues réduits au strict [...]

3.0

Le 3/5/2018

L’Homme qui assassinait sa vie, balade en enfer

Vautrin associé à Moynot cela donne un polar désespéré, la course à la mort de l’Homme qui assassinait sa vie. François-Frédéric, un type normal, mais qui n’aurait pas du faire confiance à son politicard de beau-père. Prison à la clé et vengeance à la sortie, il y en aura pour tout le monde.

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