Comme dans « La Révolte des ratés », où la sympathie de l’auteur se tourne vers ceux dont les imperfections semblent plus humaines, il n’a de cesse de créer, ainsi, de nombreuses créatures monstrueuses : cette fascination pour les monstres s’accompagnant toujours d’une description et d’effets visuels correspondant à une recherche sur l’âme humaine ; un peu comme dans les peintures de Francisco de Goya, les romans de Franz Kafka ou les films de Federico Fellini, créateurs auxquels Buzzelli fait souvent référence dans son œuvre : « Si vous regardez bien, le climat de mes histoires crie partout que j’aime Goya. Daumier aussi, un peu, mais mon grand amour, c’est Goya. J’aime Léonardo, Michelangelo, mais surtout j’aime… Goya. C’est un peintre politique, vous comprenez ? »

La Révolte des ratés
Le synopsis de l'album La Révolte des ratés(édition Avril 1974)
Détails de l'album La Révolte des ratés
Général | |
Type : | Bande dessinée |
Éditeur : | |
Collection : | – |
Album | |
Nom de l'album : | La Révolte des ratés |
Numéro de tome : | – |
Genres : | Érotisme |
Thèmes : | – |
Cycle : | – |
Auteurs | |
Scénario : | |
Dessin : | |
Couleurs : | – |
Traduction : | – |
Édition | |
Format : | – |
Nombre de pages : | 62 |
EAN : | – |
Informations sur l'édition : | – |
Détails de l'édition : | – |
Date de parution : | 01/04/1981 |
Date de dépôt légal : | Avril 1981 |
Prix public : | – |
